les bonzes-amis du Plagiat
société de généalogie
canadienne française
la tête des gens qui se sont payés la mienne ...
:
PIERRE BENOÎT
JOSÉE TÉTREAULT
... et celle de bien d'autres...
la "déontologie" à la façon de la S.G.C.F. : - on accepte sans problème qu'un CODE de DÉONTOLOGIE ne soit là que pour faire potiche, décorer une page, car on n'a jamais eu l'intention de l'appliquer. (ce qu'on cache au quelque 3 500 membres).
- on se trouve aussi confortable dans son fauteuil bien rembourré de Juge et Partie... qu' Oblomov* sur son divan.
- on ne se préoccupe pas du fait qu'un plagiat géant soit mis sur les ordinateurs de la société. (Marcel Fournier, président) On ne se doute pas que M. Beauregard, qui est sur le c.a., n'a pas d'autorisation de l'éditeur Chenelière Éducation pour diffuser le R.A.B. (ça l'exclut Mme Tétreault, qui n'était pas sur le c.a. en 2004).
- on accepte une liste électorale volée. On ne voit pas d'inconvénient à ce que «l'éditeur» M. Jean Pierre Pépin, soit sur le c.a., on cache l'illégalité de son usage aux membres (dont on se fout de l'opinion), on ne retourne pas la liste lorsque le DGEQ le demande... (Marcel Fournier, président). On ne répond pas quand on demande en quoi c'est légal (Mmes Gisèle Monarque et Micheline Pereault)
- la désinformation est grande à a s.g.c.f. concernant le Droit au Respect de la Vie Privée, toute mention semble même inexistante. (il ne faudrait pas déplaire à M. Pépin, le membre no1, qui méprise ce droit.)
- on trouve honnête et convenable une réponse comme «Dossier Clos» (Mme Gisèle Monarque) pour une demande en déontologie...
- on y plagie Histor, ni vu ni connu... (malgré la "surveillance" de la directrice, Mme Perreault).
- MM. Benoît et Desjardins et Mme Tétreault n'ont même pas répondu quand je leur ai demandé de seulement confirmer que les exemples qui constituaient ma preuve de plagiat, étaient bien sans mention au Dictionnaire Jetté... je savais bien que M. Beauregard irait se "corriger" et ça pouvait me mettre dans l'embarras. EUX AUTRES S'EN SONT FOUTUS COMME DE VRAIS _ _ _ S.
PHOTO :
- http://www.federationgenealogie.qc.ca/Fichiers/Banquet%20des%20ancetres.pdf
- http://www.sgcf.com/index.php?path=content§ion=societe&subsection=administration&page=administration
- Oblomov, un roman d'Ivan Goncharov; qui a créé un "nouveau" mot russe l'oblomovisme :)
Ce ne sont certes pas que les intervalles (décédé entre le ... et le ...)
que Denis Beauregard a plagié. Il a plagié tout le dictionnaire.
Outre ce que montre les pages plagiées avec des références absurdes
pour par exemple les religieuses, les jugements du Conseil Souverain,
les «pris par des Iroquois»... il y a ces exemples :
que Denis Beauregard a plagié. Il a plagié tout le dictionnaire.
Outre ce que montre les pages plagiées avec des références absurdes
pour par exemple les religieuses, les jugements du Conseil Souverain,
les «pris par des Iroquois»... il y a ces exemples :
« Les "erreurs" ont des exclusivites
et servent donc d'empreintes pour
identifier le plagiat.»
- D. Beauregard ( forum, 1997).
Un long forum sur le Plagiat; il y est question d'un hypothétique plagiat au dictionnaire Jetté. ce lien
Dictionnaire de R. Jetté
La copie qu'en a faite Denis Beauregard
les références de Denis Beauregard sont encore une fois absurdes : le PRDH ...
La référence de René Jetté "AGA":
Nos ancêtres au XVIIe siècle d'Archange Godbout (RAPQ; 1955-56) p.478
Le PRDH : n'a aucune mention concernant «Jean».
Le recensement de Nouvelle-France de 1666
(site d'archives Canada)
... aucune mention de «Jean».
*
cette bande verte, paraissait à toutes les pages de généalogie
du site de D. Beauregard (alias Beaux'yeux -Le-Clone)
du site de D. Beauregard (alias Beaux'yeux -Le-Clone)
Francogène : voir Bégin - Durand
Denis Beauregard se trompe de référence...
AGA : c'est Archange Godbout, nos Ancêtres au XVIIe
( et non pas «Origines des familles Canadiennes»,
pour lequel René Jetté utilise l'abréviation «AG-or»)
comment trouver l'existence de «Charles» ?
Archange Godbout,
Nos Ancêtres au XVIIe
[ rapq]
«II. BÉGIN, Louis, fils du précédent, fut baptisé à St-Léonard de Honfleur
(Calvados) le 28 septembre 1631. Concessionnaire d'une terre de trois
arpents de large par quarante de profondeur à la seigneurie de Lauzon le 18
novembre 1655 (gr. Audouart), Louis Bégin, comme son père, s'occupa plutôt
de pêche que de culture, ce qui explique qu'aux recensements de 1667 et de
1681, il ne possédait que huit arpents en valeur (Sulte, Hist., IV, 71(b)
et V, 76(C) Bigni, pour Bégin). Le 15 octobre 1668, il épousait Jeanne
Durand à Notre-Dame de Québec. En bon normand, Louis Bégin eut parfois
recours à la justice de l'époque: en 1667 pour l'ouverture d'un chemin pour
la liberté publique (Jug. & Dél., I, 438), en 1684 pour protéger l'honneur
de sa femme (sur cette affaire voir J.-E. Roy, Hist. Seign. Lauzon, I, 492;
R.P. Archange, Mém. Soc. Généal., III, 89ss), et en 1699, pour se faire
dédommager de la perte d'un cochon tué par Simon Rochon (Jug. & Dél., IV,
p. 372). Louis Bégin décéda en 1708 âgé de 77 ans et fut inhumé à Lévis le
26 décembre. Jeanne Durand, sa veuve, restait seule avec quelques enfants
encore mineurs car son benjamin, Jacques, n'avait que 12 ans. Le 12 octobre
1709 elle acceptait la donation des biens de son autre fils, Jean-Baptiste,
" sur le point de partir pour aller aux Isles de l'Amerique "
384 ARCHIVES DE QUÉBEC
(gr. Chambalon). Elle fit ensuite dresser l'inventaire des biens de sa
communauté le 24 juillet 1713 (gr. La Cetière) avant de vendre probablement
une portion de la terre ancestrale à son fils Jean-Baptiste, le 19 octobre
1713 (gr. La Cetière, pièce disparue). Le partage de la succession
paternelle eut lieu le 22 novembre 1715 (gr. Chambalon) et chaque héritier
reçut 422 livres, 13 sols et 5 deniers. Jeanne Durand trépassa en 1722 et
elle fut inhumée à Lévis le 28 juillet. Enfants:
Marie-Anne, b Québec (Q) 3 août 1669; elle épousa Louis Guay et mourut
prématurément à 18 ans; s Lévis (L) 3 oct 1687. Inventaire, 27 juill 1694
(gr. Métru). Son époux mourut jeune également. En 1715, au partage des
biens de la succession Bégin-Durand, c'est leur fille Marianne Guay, femme
de Charles Grenet, qui les représente (gr. Chambalon, 22 nov).
Marguerite, b Q 23 juin 1672; m L à Eustache Couture 7 nov 1695 (c. Métru,
7 nov); s Beaumont 16 déc 1700; inventaire, 7 avr 1701 (gr. Lepallieur); le
22 nov 1715 (gr. Chambalon), ses héritiers partagent sa part, et son mari,
en sa qualité de tuteur des enfants mineurs, les représente.
Thérèse, b Q 27 sept; s Q 5 oct 1674.
Elisabeth, b Q 6 nov 1675; m L à Etienne Rochon (Rocheron) 26 juill 1693
(c. Genaple, même jour); s L 22 déc 1695.
Louis, b Q 14 oct 1678; nommé Jeanne au recensement de 1681 (Sulte, Hist.,
V, 76C); destinée inconnue.
Jean-Baptiste, né v. 1685; m L à Louise Carrier 23 janv 1714 (c. Rageot, 15
janv); se porte acquéreur de la terre ancestrale en achetant tour à tour la
part de ses frères et soeurs; celle de Suzanne le 2 nov 1715 (gr.
Chambalon), celle d'Etienne le 18 juin 1718 (gr. Rivet), celle de Jacques
le 29 juill 1721 (gr. Dubreuil) et celle de Marguerite le 4 oct 1721 (gr.
Dubreuil); s entre 1728 et 1730, et inv. le 20 novembre 1730 (gr. Pinguet).
Suzanne, n v 1688; m L 2 mai 1709 (c. La Cetière, 28 avr) avec Laurent
Poire, qui fut élu tuteur des mineurs de Louis Bégin le 24 juill 1713 (gr.
La Cetière); s...
Etienne, b L 13 mai 1691; m L 27 mai 1722 (c. La Cetière, 25 mai) à
Geneviève Rocheron; au décès de son frère Jean-Baptiste, il fut élu tuteur
des enfants mineurs (gr. Pinguet, 20 nov 1730) à qui il rendit ensuite
compte de sa sage administration, le 1er mai 1740 (gr. Barolet); s L 16 déc
1759.
Charles, inconnu de Tanguay, était mineur en 1713 lors de l'inventaire des
biens de ses parents (gr. La Cetière, 24 juill) et n'était plus en 1715,
lors du partage (gr. Chambalon, 22 nov).
Jacques, b L 29 mai 1696; m L 15 juin 1722 (c. La Cetière, 16 juin) à
Charlotte-Geneviève Rochon; s L 20 oct 1756; inventaire 5 nov suivant (gr.
Barolet).»
Nos Ancêtres au XVIIe
[ rapq]
«II. BÉGIN, Louis, fils du précédent, fut baptisé à St-Léonard de Honfleur
(Calvados) le 28 septembre 1631. Concessionnaire d'une terre de trois
arpents de large par quarante de profondeur à la seigneurie de Lauzon le 18
novembre 1655 (gr. Audouart), Louis Bégin, comme son père, s'occupa plutôt
de pêche que de culture, ce qui explique qu'aux recensements de 1667 et de
1681, il ne possédait que huit arpents en valeur (Sulte, Hist., IV, 71(b)
et V, 76(C) Bigni, pour Bégin). Le 15 octobre 1668, il épousait Jeanne
Durand à Notre-Dame de Québec. En bon normand, Louis Bégin eut parfois
recours à la justice de l'époque: en 1667 pour l'ouverture d'un chemin pour
la liberté publique (Jug. & Dél., I, 438), en 1684 pour protéger l'honneur
de sa femme (sur cette affaire voir J.-E. Roy, Hist. Seign. Lauzon, I, 492;
R.P. Archange, Mém. Soc. Généal., III, 89ss), et en 1699, pour se faire
dédommager de la perte d'un cochon tué par Simon Rochon (Jug. & Dél., IV,
p. 372). Louis Bégin décéda en 1708 âgé de 77 ans et fut inhumé à Lévis le
26 décembre. Jeanne Durand, sa veuve, restait seule avec quelques enfants
encore mineurs car son benjamin, Jacques, n'avait que 12 ans. Le 12 octobre
1709 elle acceptait la donation des biens de son autre fils, Jean-Baptiste,
" sur le point de partir pour aller aux Isles de l'Amerique "
384 ARCHIVES DE QUÉBEC
(gr. Chambalon). Elle fit ensuite dresser l'inventaire des biens de sa
communauté le 24 juillet 1713 (gr. La Cetière) avant de vendre probablement
une portion de la terre ancestrale à son fils Jean-Baptiste, le 19 octobre
1713 (gr. La Cetière, pièce disparue). Le partage de la succession
paternelle eut lieu le 22 novembre 1715 (gr. Chambalon) et chaque héritier
reçut 422 livres, 13 sols et 5 deniers. Jeanne Durand trépassa en 1722 et
elle fut inhumée à Lévis le 28 juillet. Enfants:
Marie-Anne, b Québec (Q) 3 août 1669; elle épousa Louis Guay et mourut
prématurément à 18 ans; s Lévis (L) 3 oct 1687. Inventaire, 27 juill 1694
(gr. Métru). Son époux mourut jeune également. En 1715, au partage des
biens de la succession Bégin-Durand, c'est leur fille Marianne Guay, femme
de Charles Grenet, qui les représente (gr. Chambalon, 22 nov).
Marguerite, b Q 23 juin 1672; m L à Eustache Couture 7 nov 1695 (c. Métru,
7 nov); s Beaumont 16 déc 1700; inventaire, 7 avr 1701 (gr. Lepallieur); le
22 nov 1715 (gr. Chambalon), ses héritiers partagent sa part, et son mari,
en sa qualité de tuteur des enfants mineurs, les représente.
Thérèse, b Q 27 sept; s Q 5 oct 1674.
Elisabeth, b Q 6 nov 1675; m L à Etienne Rochon (Rocheron) 26 juill 1693
(c. Genaple, même jour); s L 22 déc 1695.
Louis, b Q 14 oct 1678; nommé Jeanne au recensement de 1681 (Sulte, Hist.,
V, 76C); destinée inconnue.
Jean-Baptiste, né v. 1685; m L à Louise Carrier 23 janv 1714 (c. Rageot, 15
janv); se porte acquéreur de la terre ancestrale en achetant tour à tour la
part de ses frères et soeurs; celle de Suzanne le 2 nov 1715 (gr.
Chambalon), celle d'Etienne le 18 juin 1718 (gr. Rivet), celle de Jacques
le 29 juill 1721 (gr. Dubreuil) et celle de Marguerite le 4 oct 1721 (gr.
Dubreuil); s entre 1728 et 1730, et inv. le 20 novembre 1730 (gr. Pinguet).
Suzanne, n v 1688; m L 2 mai 1709 (c. La Cetière, 28 avr) avec Laurent
Poire, qui fut élu tuteur des mineurs de Louis Bégin le 24 juill 1713 (gr.
La Cetière); s...
Etienne, b L 13 mai 1691; m L 27 mai 1722 (c. La Cetière, 25 mai) à
Geneviève Rocheron; au décès de son frère Jean-Baptiste, il fut élu tuteur
des enfants mineurs (gr. Pinguet, 20 nov 1730) à qui il rendit ensuite
compte de sa sage administration, le 1er mai 1740 (gr. Barolet); s L 16 déc
1759.
Charles, inconnu de Tanguay, était mineur en 1713 lors de l'inventaire des
biens de ses parents (gr. La Cetière, 24 juill) et n'était plus en 1715,
lors du partage (gr. Chambalon, 22 nov).
Jacques, b L 29 mai 1696; m L 15 juin 1722 (c. La Cetière, 16 juin) à
Charlotte-Geneviève Rochon; s L 20 oct 1756; inventaire 5 nov suivant (gr.
Barolet).»
Il n'y a qu'une seule façon de trouver «Charles» :
....à moins d'être doué de généavoyance, comme Denis Beuregard...
voir l'acte d'Inventaire des biens,
Parchemin ne suffit pas.
Parchemin
inventaire :
partage (Charles n'est plus) :
j'ajoute :
présent au mariage de son frère :
PRDH,
http://search.ancestry.ca/ iexec/?htx=View&r=5543&dbid= 1091&iid=D1P_30460564&fn=Jean+ Baptiste&ln=Begin&st=d&ssrc=& pid=15191008
il est parrain en 1714 ( «Poire» est son neveu)
PRDH,
présent au mariage de son frère :
PRDH,
1714-01-23 | Pointe-de-Lévy (Lauzon) | BEGIN | JEAN BAPTISTE | CARRIER | LOUISE |
http://search.ancestry.ca/
il est parrain en 1714 ( «Poire» est son neveu)
PRDH,
1712-04-23 | Pointe-de-Lévy (Lauzon) | POIRE | LAURENT | BEGIN | SUZANNE |
*
cette bande verte, paraissait à toutes les pages de généalogie
du site de D. Beauregard (alias Beaux'yeux -Le-Clone)
Denis Beauregard
a copié ces généalogies du dictionnaire Jetté
et n'a pas mis de référence.
a copié ces généalogies du dictionnaire Jetté
et n'a pas mis de référence.
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