à l'attention de MM. Pépin et Desjardins.
- Vous trouvez excessif que je m'attende à ce que les livres de la SGCE publiés sous des prête-nom ne soient pas vendus à la «boutique» de l'Institut Drouin, Parfait. Vous avez certainement raison, ma demande n'avait probablement pas de sens.
- Vous me trouvez rigolote (un euphémisme) quand je m'indigne contre une définition de «droit d'auteur», alors que je suis pas auteure ni éditrice... D'accord, je vous donne encore raison : les répertoire ne sont pas des oeuvres originales comme l'a si bien écrit la Fédération, j'ai divagué en pensant autrement. Les répertoire ne sont pas des oeuvres originales; je vais le copier 100 fois pour mieux m'en souvenir, et ne plus écrire de sottise. Et d'ailleurs, si ça l'indiffère des auteurs /éditeurs, pourquoi ça m'intéresserait ?
- Tout l'énorme Histor a été numérisé à la SGCF sans que quiconque ne le remarque, et tout particulièrement pas les membres du conseil d'administration et de la direction. M. Pépin l'a écrit, c'est on ne peut plus crédible. Je me rétracte donc encore d'avoir écrit, que je n'y croyais pas.
- Il va de soi que M.Desjardins n'est pas concerné par la provenance des données d'avant 1800 contenues dans le «LaFrance». Il me l'a écrit, c'est clair et on ne peut plus plausible. Félicitation M. Pépin, pour vos transcripteurs qui connaissent si bien le latin, le vieux français, et qui ont tout transcrit ça dans un temps record (à faire rougir le PRDH). Et, de toute façon, il faut bien l'avouer, ça ne me concerne pas vraiment plus que ça ne concerne pas M. Desjardins...
- Tout de même j'ai vraiment hâte d'avoir accès à ces transcriptions avec mon compte du PRDH. C'est grandement aimable de votre part, M. Pépin, de le partager avec les membres du PRDH :«La base de données du PRDH se continuera jusqu'en 1824, puis 1849, 1874... Les généalogistes y auront accès à peu près selon les conditions actuelles.» Merci! Merci! Merci! M.Pépin et à la «qualité de correction» de l'Université de Montréal» aussi, Merci beaucoup !
- Bravo pour cet «heureux mariage» ! je n'y comprends honnêtement pas grand chose au régime démographique multiséculaire dont vous et M. Robert nous parlez dans le texte, mais je vais m'efforcer de faire semblant que oui, flattée que vous me sur-estimiez à ce point.
- Mes meilleures recherches sont soigneusement rangées dans la corbeille de M. Croteau. [C'est tout un honneur ! D'autant plus, qu'elles avaient été faites gratos, c'est vous dire comment elles étaient de valeur complètement nulle; M. Desjardins vous le confirmerait].
- Mais il faut le comprendre, je ne suis pas «productive», mon arbre généalogique fait peut-être quelque cent noms, et j'm'en fous tellement que ça ne risque même pas de s'améliorer... Tous les torts me reviennent.
- Mes recherches précédentes m'avaient été confisquées lorsque je m'étais hérissée à entendre M. Croteau répéter vos propos à savoir que «Denis Beauregard a une entente secrète avec le PRDH». Vous m'aviez déjà tenu des propos similaires, et même M. Desjardins n'en a jamais dit mot. Ça montre bien comment je pouvais être dans l'champ, une fois de plus, de me formaliser pour si stupide petit détail.
- C'est une bien désolante erreur de la part de la SGCE et de M. Létourneau, de ne s'être pas rendus compte que les livres qu'ils copiaient avaient déjà été publiés. C'est agréable cette entraide généalogique de l'Institut Drouin qui accepte de les vendre et admirable la discrétion de ne pas inutilement poser de questions sur la conception du Fichier Conolly.
- Ils sont tellement chics à la SGCE, de mettre le nom d'une pauvre étudiante, généreusement, sur un de leurs fameux bouquins originaux.
- Je vous crois sur parole M. Pépin quand vous me dites que vous êtes l'éditeur du Dictionnaire Jetté.
- Il est on ne peut plus adéquat de résumer électeur en «personne majeure».
- «Ne craignez donc pas que j’ai parlé ou que je parlerai de façon défavorable de vos efforts.» m'a écrit BertrandDesjardins. C'est encourageant, convaincant aussi, quand on voit la belle tournure que ça l'a pris... «Je vais revenir à la charge avec eux mais je n'ai pas beaucoup d'espoir...». C'est vraiment épatant, et admirable de courage.
NB
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