(suite)
Le Vol du BSQ
(ce cdron a déjà été plagié et vendu à de nombreux exemplaires -comme tous les cdroms de produits généalogiques- par des administrateurs de Société peu scrupuleux. Vous n'aurez pas trop de difficulté à le trouver.)
C'est le Président de la Société de Généalogie de Québec, M. André G. Bélanger, qui méprisant une entente que sa société avait signée, vous l'indique, clairement. Cette entente ne vaut rien du tout, et vous pouvez tout copier, vendre, diffuser... La Société défraie les coûts du Copyright, par ailleurs, pour protéger ce qu'elle veut conserver pour elle-même et ses copains, au détriment de tous. Le Code de Déontologie, qui était la garantie, on le sait bien est leur meilleur gag, une mystification pour leurs membres, les organismes publics, le public en général.
L'avidité de l'Institut Drouin (MM Jean Pierre Pépin et Sébastien Robert) y a déjà trouvé son compte; mépriser le droit au respect de la vie privée est sa noble cause, elle a choisi d'ailleurs l'avocat retors, Me Denis Racine, pour l'appuyer. Satisfaits, ils ont, en plus de l'appropriation qu'ils ont fait du biens publics, pu profiter du bénévolat des membres de Sociétés auxquels ont a assurément caché le fait qu'une entente ne permettait pas qu'une compagnie privée obtienne ces données. [Une bonne somme de dons charitables déductibles a probablement été ajoutée au compte de l'«altruiste» «bienfaiteur» profiteur]. Ce ne sont que des chiffres haha rien de bien dangereux, pourrait-on ajouter pour paraphraser l'exquis et humoristique M. Robert.
Mme Gisèle Monarque, habituée à mentir à ses membres (pour l'avantage du meilleur membre qu'elle ait, l'Institut Drouin) en les encourageant à utiliser une liste électorale volée, par exemple , a été une fois de plus de la turpitude. Mme Monarque est toujours aussi zélée pour afficher un Code de Déontologie qu'elle méprise. Et «dossier clos», dirait-elle... L'éthique n'étant pas sa meilleure qualité.
M. Marcel Fournier a de quoi se réjouir. Il a tellement bien fait dans sa mauvaise foi lors de la consultation publique de 2002 et réussit une si belle dissimulation.
C'est pour le bien de "notre" milieu généalogique en son entier, mentiront-ils l'unisson...
Les généalogistes qui veulent "honnêtement" utiliser le BSQ 1926-1997, peuvent le faire uniquement sur les sites de ces 3 tricheurs.
L'entente, que respecte les organisme publics, ne leur permet pas de diffuser en ligne les données de décès dont l'expiration du délai de 30 ans a éteint la restriction. Les généalogistes soucieux du respect de la confidentialité sont pénalisés par la cupidité de ces gens qui apprécient de les voir payer pour obtenir ce qui devrait leur revenir de plein droit.
Au moment de mettre sous presse : G-F n'avait toujours pas reçu d'explication au fait que ces compères n'aient même pas songé à donner une copie de leurs images aux Archives Nationales...
La généalogie pue toujours autant, et à proximité de l'Institut Drouin, c'est toujours pire.
vote moujik
N
l'entente qui n'a pas été respectée.
(déjà mise)
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