Eugène courant dans le couvre-Sol à la biblio. |
on devrait écrire ça tous les soirs dans notre cornet.»
- Sol (Marc Favreau)
une phrase de cet essstradinaire clown aux mots à l'envers, que l'on voit à l'entrée de la nouvelle - en fait elle a quelques mois- Bibliothèque Marc Favreau, où ce message a été, en partie, écrit.
On ne pouvait pas, à mon goût, trouver plus joli nom pour une bibli; il m'était irrésistible d'aller y faire ma petite pèlerinade. Car, c'est ainsi par che'nous, on aime à se croire tout tissus du manteau de notre Sol national, comme lui de vermouilleux pure-laine, [et c'est sans scrupule que je plagie Dostoïevski* «sorti», lui, de celui de Gogol]. Car, Ouille! ouille! Alors! le Manteau de Sol* étant celui du plus grand des très modestes, du pôvre petit moi; celui qui savait si bien converser avec sa poubelle de scène (qui imperturbable, décore maintenant l'entrée de la bibliothèque).
On ne pouvait pas, à mon goût, trouver plus joli nom pour une bibli; il m'était irrésistible d'aller y faire ma petite pèlerinade. Car, c'est ainsi par che'nous, on aime à se croire tout tissus du manteau de notre Sol national, comme lui de vermouilleux pure-laine, [et c'est sans scrupule que je plagie Dostoïevski* «sorti», lui, de celui de Gogol]. Car, Ouille! ouille! Alors! le Manteau de Sol* étant celui du plus grand des très modestes, du pôvre petit moi; celui qui savait si bien converser avec sa poubelle de scène (qui imperturbable, décore maintenant l'entrée de la bibliothèque).
«Mon manteau je l'ai toujours eu.
J'ai toujours habité mon manteau!
Vermouilleux, estrardinaire appartemanteau.
Beau cinq pièces avec porche intérieure, vestibule à carreaux, revers de fortune, garantie impermouillable, très complètement fini parachevé à la main avec du fil à retordre.
Même si c'est un déficient manteau, je le garde!» - Sol
"Nous sommes tous sortis du Manteau de Gogol" - F. Dostoïevski
SOMMAIRE
Ce message a 3 sections :
- la première : un courriel à M. Thomas K. LeGrand, directeur du département de démographie de l'Université de Montréal. On ne répond pas très souvent à l'UdM, la transparence n'étant certes pas la meilleure qualité du département de démographie. Alors, on verra...
- la seconde : Le Moulin-à-Bobard de l'Université de Montréal (suite et fin). Il s'agit de ce dont j'ai parlé assez souvent, sans jamais le décrire : comment M. Desjardins m'a menti pendant des mois, m'a piqué mon travail et s'est cru en droit de bousiller tout ce que je pouvais faire, parce que je m'intéressais aux plagiats et osais même en parler. M. Desjardins était une manière de professeur-entrepreneur (il l'est toujours, il semble apprécier les rôles pas clairs).
Ça s'inscrit dans ma "série" : «LES TRICHEURS». Un bref aperçu : comment, à l'Université de Montréal, l'éthique a fondu, comme cornet au soleil, devant les dollars de l'Institut Drouin.
- la troisième un Glossaire de "notre" belle langue généalogique qui, comme celle de Sol, tient un propos à l'envers, tout de travers, mais sans poésie, celle-là : une langue faite pour tromper qui découle de 18 ans d'utilisation d'un code de déontologie fait pour mentir.
Ex. : Un vol doublée d'une tromperie est dans cette langue «une noble entreprise», des données confidentielles s'appellent des «données disponibles», de la dissimulation et de la désinformation deviennent «de la transparence», le plagiat est de la «sauvegarde du patrimoine généalogique», l'auteur - des plus vanilleteux - d'un vol qualifie lui-même son geste d'«altruisme» et une combine monétaire est le fait d'un «bienfaiteur», un vol flagrant de propriété intellectuelles est «une cause sans issus», mépriser toute forme de déontologie se dit avoir «des standards élevés» car le mépris des droits reconnus par les Chartes sont en généalogie «les règles-maison des gros joueurs», en parler dénoterait un manque d'éducation ou de raffinement «ce sujet n'est pas de mise».
Jamais un gros mot tel argent, n'est prononcé. Cette langue -qui tient de la schizophrénie- obligatoire pour tous, se conjugue au plus-que-parfait du superlatif. Elle s'est créée car les tricheurs veulent être complimentés et elle dessert les appétits de méga-suffisants. Les sociétés, intéressées, ont répété leurs boniments méprisants.
Et, le cornet à la vanille :
... Prenant Sol à la lettre -la modestie en moins- la crème de la crème de "nos" généalogistes et de "nos" sociétés ont tôt fait de flairer qu'il pouvaient se pourlécher de cette langue les droits de autres, et à l'avantage des changements technologiques, d'écrémer le travail des tous, pour mettre le plus rapidement possible, plus de vanille - et de quelques garnitures en extra- à leur carnet. Ah! la vanilleté! par opportunisme, avidité, cupidité, ils ont eu l'appétence de se régaler de tout avant les autres en «partant de zéro», par «méchanographie», «wow!», et, insatiables, de se l'approprier; leur propre gourmandise, disent-ils, faisant «l'affaire de trop de monde».
«Ils marchent sur la tête même quand ce n'est pas leur tête...» chanson-thème de l'émission Sol et Gobelet
image
(de gauche à droite)
Sol et Gobelet Parmi ceux qui manipulent le mieux cette langue, on en trouve qui peuvent plaisamment écrire «s'amuser comme un fou» tout juste après avoir admis - avec tout autant d'affabilité - dans leur belle langue, avoir détruit le travail de quelqu'un pendant ds mois, pour servir «une noble entreprise». Fabuleux! |
1. courriel à
M. THOMAS K. LEGRAND,
directeur du département de démographie,
Université de Montréal.
M. Thomas K. Legrand,
directeur du Département de Démographie, Université de Montréal c.c. Mme D. G., professeur de Démographie, et auteure avec René Jetté d'articles dont : Preuve de l'identité des quatre couples homonymes Louis Tremblay et Ursule Simard. et M. Bertrand Desjardins, professeur de Démographie, retraité.
objet : Plagiats supportés par le PRDH.
Ce courriel est publié sur mon blogue,
- à l'exception du nom de Mme G.
Toute réponse le sera aussi
. Il est suivi du «moulin-à bobards de l'Université de Montréal». Bonjour M. Legrand,
J'ai vu que le PRDH est dorénavant honnêtement vendu par l'Institut Drouin (après avoir été vendu illégalement pendant 3 ans). [ce "communiqué"].
Je croirais que ce grand changement, on vous le doit. [évidemment je dis ça au pif!, étant donné que vous ne m'avez jamais répondu].
Vous faites tout de même la "Une" de mon blogue, pour ça.
Il manque encore un bon morceau.
Les travaux de nombre de chercheurs et généalogistes ne sont pas mentionnés dans les référence du PRDH.
Il s'agit d'entre autres : L.P. Hébert, L. Larouche, A. Godbout (sauf pour les passagers du St-André), R. Jetté, A. Lafontaine, B. Sulte, P. G. Roy/RAPQ ... mais Marcel Fournier est mentionné, partout; pourtant il ramasse, le plus souvent, le travail des autres et particulièrement celui de Godbout et Jetté. [voir ce lien : des sources manquantes au PRDH ]
Par dessus tout, il y a la responsabilité évidente du PRDH dans le vol de l'oeuvre quasi-intégrale de René Jetté - 30 ans de travail- qui n'a pas eu droit à la moindre attention. Le plagiat a commencé en 2004, un an après le décès de René Jetté, il est le fait de Denis Beauregard.
Marcel Fournier et Jean Pierre Pépin* - président et v-président de la SGCF - en portent aussi une très grande responsabilité. Ils ont autorisé le diffusion de ce plagiat, à partir de leur société supposément "déontologique" , la SGCF, qui en a aussi assuré la promotion et fait la vente (à partir de 2006). Impensable!
Denis Beauregard était aussi sur ce conseil d'administration...
curiosité : Avez-vous déjà vu, M. Legrand, les retailles d'un plagiat ? si si si, après avoir découpé, il est resté des morceaux du texte original qui dépassaient, et le plagiaire a oublié de les jeter (sans jeu de mot). Ça l'a un aspect assez singulier. Je vous mets une image "à titre informatif" -comme on dit quand on cause bien- en pièce jointe pour que vous puissiez les apprécier et - qui sait?- penser comme moi, que ça met au moins une touche "originalité" dans ce plagiat : Les Bloopers d'un Plagiaire...
M. Desjardins a reconnu ce vol de propriété intellectuelle bien souvent - mais, sans toutefois admettre sa propre responsabilité (indirecte). Il n'a jamais rien fait pour que l'auteur reprenne ses droits... bien au contraire ! C'est là le sujet de ce courriel.
Propos de M. Desjardins sur le plagiat de Denis Beaurgard à l'oeuvre de René Jetté :
«Je sais très bien que D.B. a plagié sans vergogne le travail des autres (...) » - Bertrand Desjardins
«En fait, plus il ajoute de références au Dictionnaire Jetté et au PRDH, plus il se coule» - Bertrand Desjardins
«Manifestement, vous avez réussi à inquiéter M. Beauregard!» - Bertrand Desjardins
«M. Beauregard n’a jamais obtenu d’autorisation pour reproduire et vendre nos informations.» - Bertrand Desjardins
«Je n’ai pas besoin d’évoquer avec vous le pillage systématique effectué par Denis Beauregard…Etc. Etc. Etc.» - Bertrand Desjardins
«Merci...Une fois de plus! Quant aux informations sur le site Francogène, j'ai pris acte des comportements de M. Beauregard.» - Bertrand Desjardins
etc...
«Il va sans dire que j’appuie les efforts visant à combattre le plagiat (de qui que ce soit)...» -. Bertrand Desjardins
M. Desjardins disait désirer que ça soit Chenelière Éducation qui réagisse devant ce problème. [... je vous l'ai déjà écrit]
« j’ai enjoint plusieurs fois Chenelière de se pencher sur le problème» - Bertrand Desjardins
«J’ai avisé mon contact chez notre éditeur (Chenelière Éducation) des activités de votre plagiaire favori et il envisage de mettre leurs avocats là-dessus. Malheureusement, Chenelière ne m’a jamais impressionné par son efficacité ou son dynamisme, alors j’attends de voir!» - Bertrand Desjardins
«Vous ne m’ennuyez pas du tout! Le sujet m’intéresse au plus haut point…Mais c’est mon éditeur qui doit intervenir pour le Jetté et les produits PRDH. Et ils ne sont pas facile à faire bouger (euphémisme!).» - Bertrand Desjardins
«Mon éditeur, Chenelière-Éducation, devrait intervenir, mais ce n'est malheureusement pas la plus active des boîtes! Je vais revenir à la charge avec eux mais je n'ai pas beaucoup d'espoir...» - Bertrand Desjardins
etc...
Il m'a écrit ce genre de chose 4-5 fois ou plus, pour que j'ai confiance. C'était totalement faux : que de la diversion. Il n'a jamais fait en sorte que Chenelière intervienne.
Il a profité de ma confiance pour me rouler très longtemps et pour empêcher que ce plagiat soit reconnu. Il m'a menti, m'a dénigré, a détruit systématiquement mon travail, m'a caché que ce que je faisais pour le PRDH revenait à l'Institut Drouin, a été on ne peut plus sans objectivité pour me décourager de toutes les façon, avec certains de ses "amis". [ex.: intimidation par S. Goudreau. Voir ci-dessous ]
Il n'a jamais été dans ses intentions de voir ce plagiat corrigé. Ses soi-disant actions auprès de Chenelière étaient des bobards pour me faire perdre mon temps - et gagner du temps à la poursuite de son propre plagiat, "un heureux mariage" * (je cite M. Desjardins), qu'était, jusqu'à tout récemment, son «LaFrance» concocté avec l'Institut Drouin et la Société du Marigot (Michel Pratt).
* ce lien
«Heureux mariage» : ce bobard est tellement vilain que pendant plusieurs mois, B. Desjardins lui a préféré une «erreur 404» ! Initialement il écrivait que l'apport de l'Université -en évitant manifestement de mentionner le PRDH- n'avait été que technique, pour garantir «la qualité de correction de l'Université de Montréal», (je lui ai fait un charivari !) dans les 2 cas, le but était de cacher l'utilisation des données des XVII-XVIIIe s. du PRDH sur le «LaFrance» de l'Institut Drouin. une évidence : PRDH s'est développé - «heureux mariage» - sur les profits de vols, tels que celui de la liste électorale et du BSQ. Le PRDH s'est pincé le nez, et tente de convaincre les généalogistes de faire de même par des «fabuleux!», «je m'amuse déjà comme un petit fou!» ( M. Desjardins). C'est approché à un la Fin Justifie les Moyens : l'éthique et l'indépendance universitaire, seraient donc des obligations secondaires ou obsolètes?
Pourtant, le PRDH a déjà été avant-gardiste pour le respect des renseignements personnels. En 1977, avant le "nouveau" Code Civil, la Loi sur les renseignements personnels, et même les Chartes, le PRDH respectait une restriction de 100 ans dans sa cueillette d'information sur l'état civil dans les registres religieux (le Code canonique n'a , à ce qu'un chancelier m'a écrit, de règles sur la confidentialité que depuis 1982). Le mercantilisme-génélogique ne l'avait pas encore atteint!
M. Desjardins savait très bien que les sociétés de généalogie resteraient indifférentes au plagiat; c'est non seulement une de leurs meilleures spécialités, mais elles sont très liées à - sinon contrôlées par - l'Institut Drouin qui fait la pluie et le beau temps et est, "au moins" (c'est pour rester polie), le pire exemple de la généalogie en terme d'éthique... par exemple : à la commission Bouchard-Taylor en 2007 après avoir montré son «annuaire des Citoyens» (ie la liste électorale volée) il a fait valoir ses «standards élevés» et le (faux) Code de Déontologie de la Fédération. On perd son temps à chercher le mot «déontologie» sur le site de M. Pépin, ce mot ne sert, pour lui, qu'à berner les organismes publics et leurrer les membres des sociétés de généalogie avec un Code de Déontologie jamais appliqué en 18 ans d'existence. [voir Mémoire de l'Ins. Drouin]
M. Desjardins a toujours un double langage sur le plagiat, il le dénonce, mais ne veut pas être en reste quand il s'agit d'en profiter ;
«vous attendez une réponse de gens qui sont à la fois juge et partie» - Bertrand Desjardins
«Je vous ai déjà fait part à plusieurs reprises de mon opinion sur la culture du plagiat chez nos généalogistes : je la déplore!» - Bertrand Desjardins
«Je ne suis pas du tout étonné de la réaction des responsables des organismes de généalogie. Ils sont les premiers à tirer parti de ce type de données plagiées. Les plus hautes instances de la Fédération québécoise ont trempé dans le trafic de Cds piratés, et ils savent très bien que Denis beauregard leur mettrait en pleine face leur propre turpitude s'ils osaient lui causer des problèmes.» - Bertrand Desjardins
«Ne craignez donc pas que j’ai parlé ou que je parlerai de façon défavorable de vos efforts.» - Bertrand Desjardins
*
J'avais beaucoup insisté auprès des Sociétés de généalogie pour qu'elles s'intéressent à ce vol; elles ont un "Code de Déontologie", mais c'est un leurre. Puis, voyant "la persistance" de M. Desjardins à vouloir que Chenelière réagisse, j'ai écrit, et ils se sont dit prêts à intervenir.
Chenelière Éducation : «Nous allons impliquer notre service du contentieux et prendre action auprès de francogene dans les prochains jours. Cordialement Michel»
C'est alors, M. Desjardins - ce supposé allié- qui a tout fait rater...
(Il avait probablement fait de même auparavant, nui plus qu'appuyé, auprès des sociétés, où les administrations se sont avérés être ses proches relations...).
Pour la duplicité et la dissimulation, iM. Desjardins a été vraiment très généreux.
*
Ça serait réglé depuis longtemps, si le PRDH ne dissimulait pas une combine derrière ce plagiat.
Les dissimulations du PRDH
Il y a au PRDH des «ententes secrètes», un plagiat «fait avec la complicité de Bertrand Desjardins» (ce sont les propos de J. Pierre Pépin). Il est évident que le RaB du PRDH a été remis par le PRDH -à l'insu de l'éditeur, Chenelière Éducation, bien entendu- à M. Beauregard et c'est pour cela qu'il se croit en droit de s'approprier tout le travail de René Jetté, et que quiconque s'approche du plagiat du Jetté est voué à la damnation par M. Desjardins.
Cette autre tricherie se trouve tout en dessous des deux premières tricheries (ie le plagiat du Jetté et l'«heureux mariage» ... à la gaumine). Ce sont des combines à étage, empilées les unes sur les autres; l'ensemble, recouvert d'un glaçage onctueux, forme, en quelque sorte, le gâteau de noces (c'est le mieux que j'ai pu comprendre, du moins).
Je ne demande presque rien ! Seulement que M. Beauregard inscrive sous le titre de "sa" généalogie (Et, dans le cas échéant que le PRDH et le «LaFrance» fassent de même.) :
«Basée sur le travail de René Jetté | 1621-1825».
«Il va sans dire que j’appuie les efforts visant à combattre le plagiat
(de qui que ce soit)...» -Bertrand Desjardins
Oh! Que l'on tarde à nous [faire] voir, enfin, ça !
Merci beaucoup, M. LeGrand, de prendre la peine de ne pas laisser le travail de René Jetté définitivement plagié, volé.
J'espère qu'on va voir sous peu la «qualité de correction de l'université de Montréal» dont parlait M. Desjardins (à d'autres usages, toutefois...) Ce serait indigne d'une Université que cette situation ne trouve pas de solution. Ça fait 4 ans -2 ans depuis un blogue - que je m'entête à voir ce vol scandaleux trouvé une honnête conclusion. J'espère grandement que vous y contribuerez. |
2. Le MOULINS-À-BOBARDS
LES TRICHEURS
Bertrand Desjardins
Le Moulin - à - Bobards
de
l'Université de Montréal
meunier : Bertrand Desjardins
(suite et fin)
Ci-dessous : Un aperçu.
Comment M. Desjardins a eu bon plaisir, pour une «noble entreprise», de détruire, autant qu'il lui en a été possible, mon travail.
Ça ne même pas valu le droit qu'il me dise la vérité. Il me mentait sans cesse, me nuisait, tout en prenant ce que je faisais.
C'était déloyal et indigne d'un professeur d'Université, mais...
Aussi, j'ai écrit bien souvent que j'étais naïve , ou pire naïve-optimiste. On devrait me croire, je crois, avec ce qui suit, qui contient quelques bons exemples..
En guise d'introduction, cette phrase, dans laquelle je m'étais nettement surpassée:
«Ça n'a pas dû être un choix bien facile à faire pour vous.» - moi
[de céder à l'Insttut Drouin le PRDH sans qu'il ait à mentionner de copyright...]
et j'ajoutais : «C'est vraiment triste».
Ça fait bê-bête, je sais, mais...
Je ne veux pas qu'on dénigre, en plus, mon travail. J'y tiens à mon travail, j'en suis fière même, ni plus ni moins que vous (probablement moins, M. Croteau me l'a aussi tellement détruit, effacé qu'on finit par ne pas trop y prendre attention). M. Desjardins m'a déjà suffisamment fait de tort, gratuitement, méchamment , pour se donner le loisir de dissimuler un peu plus longtemps ses «ententes secrètes» et de plagier paisiblement.
Évidemment, je fais de la généalogie que depuis 2007; mon "travail" ne pèse rien du tout à côté de celui de Jetté, Larouche, Hébert... que M. Desjardins n'avait pas de mal à copier et donner à l'Institut Drouin !
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3. Le GLOSSAIRE de la langue-foutaise faite
pour satisfaire le Code-bidon de Déontologie
«Je ne pourrais certainement pas manquer de vous remercier, pour le coup de main géant que vous m'avez donné. J'espère toutefois ne pas vous avoir trop embêté. C'est toujours très impressionnant de vous voir à l'oeuvre avec votre grande précision dans les cas d'illégitimes, les jumelages, entre autres; et c'est comme ça que je voudrais faire de la généalogie.» 1 - moi
«La pub de M. Pépin ne mentionne pas non plus le © PRDH. (...)
C'est le cas présentement, ce le sera aussi dans 10 ans, dans 30 ans sûrement aussi...
pfffft ! le PRDH. Ouille! on dirait que pour son assurer son avenir le PRDH doit laisser tomber son passé.
Ça n'a pas dû être un choix bien facile à faire pour vous.
Quelle perte incroyable ! c'est vraiment triste. » 2 - moi
Une compagnie privée cachée dans une université; et puis après...? C'est sans «inquiétude»3. Ce n'est pas si grave l'absence d'indépendance universitaire ! C'est comme un Code de Déontologie, il n'y a que les imbéciles -à ce qu'on m'a fait comprendre- qui y croient.
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Le propos le plus honnête que M. Desjardins m'a tenu pendant ce temps, «Où et comment M. Pépin aura-t-il obtenu ce qu’il mettra en ligne pour le années avant 1800 : je ne veux pas le savoir, cela ne me concerne pas.» 4, était un mensonge flagrant; mais au moins il était éclairant sur le reste. Jamais il n'était intervenu auprès de Chenelière pour les plagiats de D. Beauregard et sa «noble entreprise» cachait maintes combines.
Surtout, il s'était prévalu, à l'avance, de bousiller mon travail pour satisfaire ses «nobles» intérêts et enrailler une casse-pied qui n'apprécie pas les plagiats, mais en lui prenant tout de même son boulot, idée de compenser pour les désagréments qu'elle lui causait - ou pourrait lui causer....
Pour tricher en comptant sur l'«expertise de son entourage» 5, M. Bertrand Desjardins a l'embarras du choix. MM. Michel Pratt, Jean-Pierre Pépin, Marcel Fournier, Serge Goudreau, Denis Racine, Denis Beauregard et Mme Gisèle Monarque ne donnent pas leur place quand il s'agit de mentir, abuser, dissimuler et Youpi! d'imposer, en toute déontologie -manifestement,- les «données disponibles» 6 d'une liste électorale7 volée, pour lesquelles «il n'existe pas de règles formelles» 8 empêchant de les recopier partout sur internet et «et les ententes qu'ils ont avec les Ministères [ça ne nous] regarde pas et pi pas pantoute»9 . Ce sont les meilleurs juges et parties du milieu, qui nous procurent de quoi nous «amuser comme des fous»10 pour qui sait apprécier l'«altruisme»11 de leurs «calvettes à entourloupettes»12. Michel Pratt vous fabrique en un trompe-l'oeil, à partir d'un conflit d'intérêt flagrant, un beau «partenariat»13, vous appuie pour un vol -«cette noble entreprise»14- en assurant la «logistique et la production»15. Il vous en écrit même l'«histoire»16 romancée, commandée selon vos goûts, pour «la sauvegarde du patrimoine généalogique».17
Êtes-vous, vous aussi, «parti de zéro»18 en copiant un livre de but en blanc? Car «COPIER une seule information»19 et un livre en entier c'est tout à fait comparable et on vous fournira les «appuis de taille»20 qu'il vous faut pour soutenir «votre geste généreux»21; on appréciera votre «travail original»22, ici, «la généalogie est un hobby et une passion»23 et l'avidité «fait l'affaire de trop de monde» 24 pour qu'on s'y attarde autrement que pour en profiter, alors, constatez-le, comme nous tous : la déontologie c'est généalogiquement «fabuleux!»25
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1 moi, courriel «Bonne Retraite» à M. Desjardins
2 id.
3 Thomas K. Legrand, directeur du Département de démographie, Université de Montréal
4 Bertand Desjardins «Où et comment M. Pépin aura-t-il obtenu ce qu’il mettra en ligne pour le années avant 1800 : je ne veux pas le savoir, cela ne me concerne pas.» ...
5 Bertrand Desjardins ; «c’est sans hésitation que je mets mon expertise et celle de mon entourage au service de cette noble entreprise» ... son «expertise», mais certainement pas son nom, qu'il dissimule partout tout comme celui du PRDH! Et les données ? il ne se souvient plus «où et comment ...» ils les a remises ( voir note 3 ci-dessous).
6 Michel Pratt
7 Il faut spécifier que ce sont les gens qui ne l'utilisent pas qui sont nécessairement dans l'«illégalité» : «Pour m'accuser de copier la liste électorale, êtes-vous en possession de cette liste ? la consultez-vous illégalement ? » - Jean Pierre Pépin et sa tellement coutumière mauvaise foi.
8 Serge Goudreau (avant de m'expulser une première fois...) «Nous avons chacun nos opinions sur l'opportunité d'inscrire des données nominatives et il n'existe pas de règles formelles à ce sujet (hormis le bon sens).»
9 Denis Pelletier au sujet du BSQ volé : «Les ententes qu'ils ont avec les Ministères, personnellement ça ne me regarde pas et pi pas pantoute »
10 Bertand Desjardins : «je m'amuse déjà comme un fou»
11 Jean Pierre Pépin devant la Cour Supérieure.
12 Jean Pierre Pépin devant la consultation publique de la CAI, ses propos sont repris dans la décision de la Cour Supérieure.
14 Bertrand Desjardins, voir note 5.
17 L'institut Drouin
18 Denis Beauregard «je suis parti de zéro et non pas de son dictionnaire», Pierre Connolly «parti depuis zéro»
19 Guy Létourneau de la Société de Généalogie des Cantons-de-l'Est : «Si vous êtes capable de faire votre arbre généalogique sans COPIER une seule information, vous êtes éligible à un prix de création littéraire, mais ne vous présentez pas chez nous, nous ne sommes pas intéressés à ce type de littérature». M. Guy Létourneau )avec Pierre Connolly) a fait copier des 100aines de pages de répertoires déjà publiés à des bénévoles et à des étudiants subventionnés; il en a, bien entendu, caché le nom de l'auteur.
20 Serge Goudreau
21 Denis Racine : «le président remercie M. Pépin pour son geste généreux» ( ie offrir la liste électorale volée dans un conseil de la Fédération..., décembre 2005)
22 Denis Beauregard, «un travail original de 6 ans»
23 Sylvain Croteau, Albert Cyr
24 Bertand Desjardins
25 Bertand Desjardins
|
Votre moujik,
N
"Nous sommes tous sortis du Manteau de Gogol" - Fiodor Dostoïevski
SOL le manteau de Sol : «« J’ai toujours habité mon manteau, je suis bien chez lui quand même. Tellement bien que je le loue. Chaque mois, je lui fais la louange. Achevé à la seconde main, drôlement bien aéré, avec des petits trous partout pour faire sortir les mythes. Ouille, ouille, je pourrais le classer monument hystérique », disait-il dans le monologue Le mur du son.» - http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/386688/l-estradinaire-appartemanteau-de-sol
Marc Favreau et Luc Durand
Sol et Gobelet
http://www.ledevoir.com/international/europe/169274/rire-et-politique-temps-durs-pour-les-comiques
pure laine : une expression (souvent moqueuse) un «Québécois pure laine» , fier de sa "vraie" fibre du pays.
Sol et sa poubelle en scène.
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