Ras-le-Bol, Monsieur, de vos écrits anonymes. Vos vilains propos passez les à d'autres.
Si comme vous le dites "la tâche est difficile" c'est justement à cause des gens comme vous qui ne font rien de transparent, qui cherchent je ne sais quelle futile gloire! «Je suis celui qui» ai signé un «affidavit» de blabla introductif d'instance! J'ai écrit un document de «54 pages» sur l'annuaire des citoyens! J'ai écrit un document de «18 pages» sur le BSQ envoyé dans tous les recoins de ministères et sous-ministères. ZZZzzzz...
Vous êtes membre de la Société de Généalogie Canadienne Française ! Qu'attendez-vous pour aller dans les assemblées et demander des comptes à Mme Monarque pour son insignifiance-déontologique qui perdure depuis des années ?
Vous êtes trop peureux.
Critiquez-moi, c'est plus facile, sous l'anonymat...
Et, vous me dites quoi faire en plus ! Non mais... !
La lâcheté des généalogistes est sans borne. L'incohérence est pire.
Avoir la fierté de ses idées c'est avoir le culot défendre une opinion minoritaire. Vous vous attendez que 49,99% des gens soient de votre avis, avant d'afficher vos couleurs, afin d'être CELUI qui a fait basculer les choses.... Inepte.
Si les bonhommes Pépin et consorts peuvent s'empiffrer partout des droits des autres, des travaux des autres et même y trouver des déductions fiscales, c'est à cause de votre mollesse. La démocratie ils l'ont refaite en fonction de leurs seuls intérêts, ils s'auto-encensent sur la place publique, s'auto-attribuent des prix ... Vous êtes incapable de leur dire qu'ils sont ridicules. La démocratie c'est une personne une voix. Vous vous ne dites mot, - ou que lorsque vous trouvez le temps de me faire des reproches pour vous cacher à vous-même votre inconsistance.
Je n'aurais pas besoin de parler si fort, si vous disiez, votre mot. Mais, vous préférez vous mettre à ma remorque tout en m'insultant. J'vous veux pas. Roulez-vous les manches ou déguerpissez. J'en ai marre de votre méchanceté et de votre vantardise. Je n'ai jamais reçu d'excuses de votre part.
Pourquoi ne contactez-vous pas, vous aussi le Protecteur du Citoyen. Ça ne sent pas bon du tout, cette histoire interminable à la CAI?
Pourquoi ne contactez-vous pas, vous aussi le Protecteur du Citoyen. Ça ne sent pas bon du tout, cette histoire interminable à la CAI?
St-Bruno est dans l'arrondissement de Longueuil! Qu'attendez-vous pour aller faire un pied de nez à M. Pépin, qui ne rate jamais une assemblée municipale, y allant de son «mécénat» et de ses «générosités» pour vendre ses vols aux bibliothèques et réitérer au municipal, ce qu'il a fait au provincial, l'appropriation d'archives pour la commercialisation par la manipulation.
Et qu'attendez-vous pour dénoncer, devant le conseil municipal, Michel Pratt et ses tricheries au Marigot?
J'ignore qui est le con qui a dit au Devoir que les universités et autres utilisaient des listes électorales volées. Il y a 2 choix : vous et Denis Racine. Vous, ce serait par incompétence, Denis Racine, par intérêt...
«Une source au courant du dossier croit que ...»- Le Devoir. C'est tout à fait dans votre genre que de vous faire passer, dans l'anonymat, pour ce que vous n'êtes pas «moi madame, je suis un expert» comme vous le répétez à toutes les 2 phrases, ad nauseam. Beau gâchis !
Qu'attendez-vous pour demander à l'institut Drouin comment il s'est procuré les transcriptions des recensements de 1881, 1901 ? Le fichier Loiselle (de la BAnQ / SGQ) ? et ceux des frères de Ste-Croix (SGCE) ?
Qu'attendez-vous pour rappeler à M. Croteau et Racine, que ce n'était pas déontologique de vendre des transcriptions piquées, du travail de bénévoles, et de vous moquer de leur Vente du r. 1881 !
Je reçois par intermittence vos courriels et ceux de Mme Lucille Patenaude.
Vous me couvrez d'insultes et après vous me dites de ne pas lâcher, de continuer, que vous appréciez mon culot...
Pourquoi au lieu de toujours tenter de me démonter vous ne risquez pas quelques gestes - non cachés, non-anonymes, vous-même ? (parce que tel un plagiaire vous attendez de pouvoir vous approprier le mérite de ce que je pourrais faire, en méprisant ce que je fais).
Maudite lâcheté...
Natalie Bédard
(c'est mon vrai nom, évidemment!)
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