RÉSUMÉ | comment le plagiat de Denis Beauregard a-t-il pu se produire ? (1ère partie)

RÉSUMÉ - 1ère partie

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Un résumé. Idée de concentrer l'information, de rendre à chacun ce qui lui revient.

J'aurais cru ne pas avoir à écrire ça. J'avais dans certains cas volontairement éparpillés les information, dispensée à petites doses; je croyais que, la bonne foi aidant, ça se dénouerait simplement.

Je constate bien qu'on refuse l'évidence, arbitrairement.

J'ajouterais que c'est une injustice en soi que de faire écrire à quelqu'un des choses pareilles, mais, tant pis , et les voici :

Les dissimulations du PRDH / DENIS BEAUREGARD Francogène de Denis Beauregard vend le RAB du PRDH, en catimini, depuis 2006. Du PRDH, il a obtenu les fichiers sources du RAB du PRDH ie les actes. Le dictionnaire est le dictionnaire Jetté (1621-1730) et Histor* (1730-1825) aussi, de René Jetté dont les données ont été comparées/révisés** avec celles du RAB. (Je ne dis pas que le PRDH a permis la commercialisation, mais l'inverse serait étrange; ça ressemble davantage échange de "services". Il est très probable que ce plagiat soit, en partie, inclus dans le Dictionnaire du PRDH). C'est une combine : Chenelière, l'éditeur, n'a pas été avisé et n'a rien autorisé... C'est ce que J.P. Pépin appelle «une entente secrète» , «avec la complicité de Bertrand Desjardins» * l'éditeur d'Histor est J.P. Pépin ** d'où le lien de famille avec le Revizor, de Gogol.

Les dissimulations de BERTRAND DESJARDINS (PRDH) / INSTITUT DROUIN Le «LaFrance» de L'Institut Drouin, vend le RAB du PRDH en catimini, depuis mai 2011.   Il a obtenu les fichiers sources du RAB et le programme de M. Desjardins (qui a pris sa retraite du PRDH de l'Université de Montréal, une semaine après l'ouverture du «LaFrance»). On promet aussi sur le site le Dictionnaire du PRDH, j'ignore (j'préfère ne pas savoir) s'il y est. C'est GÉANT! Les transcriptions des actes de 1621-1799 sont celles du RAB du PRDH; celles du XIXe sicècle (1800-1850) , de l'Institut Drouin. Les images des actes sont celles du Fonds Drouin. C'est ce qu'ils appellent «un heureux mariage», fait «grâce à la qualité de correction de l'Université de Montréal» ... La provenance des transcriptions d'avant 1800 est dissimulée. Tout ça à l'insu de Chenelière, l'éditeur... (Aucune mention n'est faite sur le site du PRDH de ce lien avec une entreprise privée, sinon le communiqué mensonger «heureux mariage»)

Ce que je demande, c'est trop direct pour leurs manèges, trop court pour leurs combines à étages, trop simple pour leurs discours à attrape, trop transparent pour leur turpitude, trop indépendant pour leur tendance à la connivence, trop franc pour leur mauvaise foi, trop petit pour leur gros ego froissé : Que soit ajouté sous le nom de la Généalogie "de" Denis Beauregard BASÉE SUR LE TRAVAIL DE RENÉ JETTÉ | 1621-1825 parce que c'est tout bêtement la vérité.

Les mensonges de DENIS BEAUREGARD C'est le déni; mais un déni qui sonne faux. Il le sait bien qu'il a plagié, et plus il s'en défend, plus il le montre, mais il se sait protéger par un Code qui est en fait «une vraie blague» dont «la Fédération se contrefout». Ex-administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française, il était dans le Conseil d'administration en 2004, un an après le décès de R.  Jetté, lorsque son plagiat du Dictionnaire a été mis sur les ordinateurs de la Société. Il le mettra sur son propre site l'année suivante et en débutera la vente en 2006 (en cdrom). Le plagiat du dictionnaire Jetté, n'est pas son unique plagiat, il en a fait quelques autres sur son site mais de moindre importance. «J'ai fait mon travail à partir de zéro et non à partir de son dictionnaire.» - D. Beauregard, forum (23 août 2010) «plagiat de quoi ? plagiat voudrait dire que je présente comme mien le travail de quelqu'un d'autre. Or, j'indique mes sources, le PRDH-RAB pour ce qui concerne le Québec. J'ai eu aussi la permission orale d'utiliser les données du PRDH. Tout ce qu'on m'avait demandé, c'était de trouver moi-même les filiations. » - D. Beauregard, courriel (23 mars 2010) « Si j'ai la même chose que Jetté, c'est que j'ai utilisé la même source, les données du PRDH. » - D. Beauregard, courriel (23 mars 2010) «J'aurais donc plagier un travail qui n'existe pas » - D. Beauregard, forum (23 août 2010) Il va sensiblement modifier son propos après avoir vu, seulement en partie,  ma preuve sur un forum (rapidement effacé par Sylvain Croteau). IL PROPOSE D'INDIQUER SES SOURCES : (c'est admettre qu'il a à la fois menti et plagié) - 20 septembre 2010 (courriel 1) : « Je vais faire ma mise à jour d'ici peu. Je vais retirer les dates de décès approximatives (qui viennent de Jetté, et c'est indiqué ) parce qu'elles doivent être validées...» - D. Beauregard - 20 septembre (courriel 2) : «Je sais que ces mentions de décès approximatifs viennent surtout de Jetté...» - D. Beauregard - 28 septembre « P.S. Je vais plutôt indiquer la source des dates approximatives de décès dans ma base de données. La page du DGFQ sera affichée dans la version sur CD-ROM alors que le site aura comme simple indication le nom du DGFQ dans la bibliographie.» - D. Beauregard IL PROPOSE AUSSI DE MODIFIER SES SOURCES : (par une source qui n'existait pas lors de la rédaction de "sa" Généalogie.) «Et réfléchissez pendant 30 secondes à ce que vous avez écrit. Des données qui viennent du PRDH-RAB et Chenelière qui me poursuivrait ? Ces données sont reproduites intégralement dans le Fichier Lafrance et il me suffirait de remplacer toutes les références au PRDH-RAB par des références au Fichier Lafrance.» - D. Beauregard, 8 avril 2013 - sa réponse à une demande de ce blogue, voir >> * Pour avoir un une idée de la taille de sa plagiat, il faut comparer son site avec le dictionnaire Jetté. C'est réellement ÉNORME. MAIS, LA MEILLEURE PREUVE DE SON PLAGIAT DEMEURE : il n'y a pas un seul «merci» sur son site; impensable lorsque  l'on dit avoir eu une  «permission orale» à utiliser le RAB du PRDH. pour voir la PREUVE DE CE VOL DE PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE   >>>         pour voir  l' ADMISSION QU'IL A FAIT DE SON PLAGIAT  >>>

Les mensonges de BERTRAND DESJARDINS (PRDH) « Je sais très bien que D.B. a plagié sans vergogne le travail des autres».  « Il va sans dire que j’appuie les efforts visant à combattre le plagiat (de qui que ce soit)...» « c’est mon éditeur qui doit intervenir pour le Jetté et les produits PRDH». « J’ai avisé mon contact chez notre éditeur (Chenelière Éducation) des activités de votre plagiaire favori et il envisage de mettre leurs avocats là-dessus» Il va s'en dire surtout que M. Desjardins se fout comme de sa première chemise du plagiat de Jetté.  Au début, le discours de M. Desjardins était : «pour diverses raisons, je souhaite me tenir à l’écart de la mêlée…» «je n'ai pas de temps à perdre avec cet individu... » « (...) quand je parle du plagiat, je ne mentionne jamais ce que vous m'avez écrit.» - moi (Il avait été entendu / sous-entendu que je n'utiliserais pas ses propos.) Et, c'est mon dilemme : La liberté d'opinion : ça comporte aussi le droit de ne pas en avoir. La liberté d'expression :  ça comporte aussi droit de ne pas dire un mot. → Mais cacher un DOUBLE-JEU, je croirais, que c'est une expression de son opinion; alors je n'ai pas respecté ma parole.Avant de me rendre compte que M. Desjardins avait profité de ma confiance, j'avais rigoureusement respecté ma parole, dans mes demandes, dans mes courriels, auprès des sociétés, etc... par la suite, c'était : LA FAUSSE POURSUITE. J'en ai parlé tout récemment. M. Desjardins m'a fait croire pendant environ 1 an qu'il entendait à ce que l'éditeur Chenelière Éducation poursuive D. Beauregard pour les plagiats du Dictionnaire Jetté et du RAB du PRDH. Il gagnait ainsi du temps pour la préparation du «LaFrance», se donnant l'allure d'ultra-réglo envers son éditeur. C'était un procédé totalement indigne de ses fonctions. voir le Poisson d'avril de l'Université de Montréal  >> DISSIMULATION : M. Desjardins a nié avoir eu une collaboration de D Beauregard. ( c'est la toute première chose que j'avais demandée). Il dissimule ses liens ténues avec la SGCF (avec Marcel Fournier, notamment ). Il m'a admis avoir un lien avec l'Institut Drouin, lorsque je lui ai demandé. Il m'avait alors écrit : «La base de données du PRDH se continuera jusqu'e 1824, puis 1849, 1874...Les généalogistes y auront accès à peu près selon les conditions actuelles...» «Où et comment M. Pépin aura-t-il obtenu ce qu’il mettra en ligne pour le années avant 1800 : je ne veux pas le savoir, cela ne me concerne pas.» - Bertrand Desjardins, 13/05/2011 LE COMMUNIQUÉ «HEUREUX MARIAGE» Ce texte comporte un truquage : On noie le propos dans de la guimauve fondue pour dissimuler le fait qu'on évite astucieusement de mentionner les XVII et XVIIIe siècles, la portion du PRDH. (ce communiqué a remplacer la «qualité de correction de l'Université de Montréal», qui laissait entendre que la contribution du PRDH était une sorte de tutorat... ) LES RÉFÉRENCES DU PRDH ( ne n'est pas bien important mais fort intrigant )  références : Tadousac, Sillery, registres en latin, recensements de 1666, 1667, 1681, 1699, 1716, 1744, 1762, 1765, les décès de religieuses.... Archange Godbout (à part pour le "St-André"), R. Jetté. Le PRDH aurait-il déjà pratiqué le «les répertoires ne sont pas des œuvres originales» (la Fédération) quand ça faisait son affaire ? c'est ce qui semble - et c'est drôlement contradictoire. Pourquoi trouve-t-on des références aux Relations des Jésuites et à C. Tanguay (libres de droit) mais pas à Sulte ? Pourquoi en trouve-t-on aux faux-sauniers mais pas aux religieuses ? À l'A.N.Q. mais pas au R.A.P.Q. ? À S. White et V.de Marce mais pas à Jetté, à A. Lafontaine? MAIS où sont donc les autorisations pour L. Larouche, L. P. Hébert... le «LaFrance» ?

la suite sera :
les mensonges de Jean Pierre Pépin
la SGCF  ( Marcel Fournier, Gisèle Monarque et ... J.P. Pépin)
la Sociét du Marigot  ( Michel Pratt et ... J. P. Pépin)
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