Commission d'accès à l'information
Bonjour Me Chassigneux,
Vous m'avez écrit que vous regarderiez ma demande à votre retour de congé; je sais en outre, que ma demande vous avait été transmise tardivement. Un délai ne me cause aucun problème, mais je voudrais tout de même être assurée que ma demande n'a pas été oubliée.
Vous m'avez écrit que vous regarderiez ma demande à votre retour de congé; je sais en outre, que ma demande vous avait été transmise tardivement. Un délai ne me cause aucun problème, mais je voudrais tout de même être assurée que ma demande n'a pas été oubliée.
merci beaucoup,
Respectueusement,
Natalie Bédard
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J'en profite pour ajouter quelques éléments d'information qui pourront probablement vous éclairer sur mon insistance à ce que ce soi-disant "Code de Déontologie" soit regardé. Mon intérêt pour ce "Code" provient du fait qu'il a permis un vol éhonté à la propriété intellectuelle; mépris à la confidentialité et plagiat se soutiennent et souvent se confondent en généalogie.
- «la fédération se contrefout de son propre code de déontologie» - Denis Beauregard, ex-administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française.- «Le code de déontologie a été introduit uniquement dans le but d'inciter le directeur de l'état civil à rendre disponible les registres récents après la loi 125 qui a interdit leur accès aux généalogistes à partir du début de 1994. Il n'a pas pour but de taper sur les doigts des généalogistes ou de faire une sorte de tribunal. Ce n'est qu'un ensemble de vœux pieux et rien de plus.» - le même
- «Il faut dire que ce code de déontologie avait pour seule raison d'être d'inciter le gouvernement à nous redonner un accès aux données récentes de l'état civil, ce qui n'a rien donné. » - le même
- «Alors, vous voyez bien qu'il est inutile de se plaindre auprès de la fédération : elle n'applique même pas son propre code de déontologie... La seule différence entre une plainte d'une personne connue et d'une inconnue est que l'inconnue ne recevra pas de réponse. Autrement dit, ce code est une vraie blague» - le même
Les propos suivants concernent toujours la même demande d'enquête en déontologie :
- «je ne suis pas étonné que vous n'ayez pas reçu de réponse. Les plus hautes instances de la fédération ont trempé dans le commerce de cd plagiés, ils ont craint que d.b.. leur envoie au visage leur propre turpitude». - Bertrand Desjardins, directeur retraité du PRDH, département de démographie, Université de Montréal
- «vous attendez une réponse de gens qui sont à la fois juge et partie» - le même
- «Je tiens à vous préciser que la fédération propose un Code de Déontologie à ses membres, mais ne peut l'imposer. Elle n'a pas de pouvoir coercitif quant au actes des individus ...» - Michel Banville, président de la F.Q.S.G.
(Je lui ai demandé d'au moins faire en sorte que les sociétés qui ne se sentaient pas tenues à respecter le " Code" le mentionnent sur leur site, où elles affichent leur "Code". M. Banville ne pas répondu)
- «Prenez vous un avocat» (à plusieurs reprises, en haussant le ton) - Albert Cyr, ex-président de la F.Q.S.G.
- «c'est moi qui leur ai dit de ne pas répondre» - le même
- (la réponse que j'ai reçu pour avoir demander pourquoi on n'avait pas répondu à ma demande d'enquête en déontologie) : «parce que je ne vous connais pas, je ne sais pas si vous êtes membre et que je ne connais pas vos compétences en généalogie» - Micheline Perreault, dg SGCF
- «Dossier clos», à 2 reprises. - Gisèle Monarque, présidente de la S.G.C.F.
- jamais obtenu de réponse de Marcel Fournier, ex-président de la S.G.C.F. (Outre ce plagiat, 2 autres plagiats géants ont été faits durant son mandat qui ont bénéficié de la complaisance de la S.G.C.F. Entre autres on y a encouragé les membres de cette société à se servir dune liste électorale volée, sans les aviser de l'illégalité du geste, pour en faire des utilisateurs et déclarer en cour que la liste électorale était «devenue une donnée publique». (Me Denis Racine qui était au moment de la diffusion de la liste volée, président de la Fédération, déjà avocat de l'Institut Drouin dont le président était aussi au c.a. de la Fédération...).
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La Société la moins éthique est probablement celle des
Cantons-de-l,Est, qui cumule les accrocs à la Déontologie. Copies de
livres publiées, rééditions de ces livres (utilisation de prête-nom pour
dissimuler ce fait), commercialisations de données nominatives, mépris
d'un décret de l'évêque... On ne répond jamais lorsqu'il est question de
déontologie.
J'en ai fait part à la Fédération (Mme Marie Royal) et lui ai
demandé de créer un comité d'éthique. On m'a envoyé suite à cette
demande un communiqué envoyé aux Sociétés demandant d'aviser leurs membres de respecter le Code de Déontologie et particulièrement les articles concernant le plagiat.
Quelques semaines plus tard, un des administrateurs de la
Société des Cantons-de-l'Est responsables de ces entorses à l'éthique a
quant à lui, reçu une récompense (Pierre Connolly).
C'est
ça la Déontologie en généalogie, faire semblant devant les membres
d'être soucieux du respect du droit d'auteur; et encourager les
tricheurs.
- Un comité d'éthique, uniquement créé pour protéger les
publications des Sociétés, a fini par être instauré, suite aux pressions
que j'ai faites. Initialement, la Fédération avait émis un communiqué
incroyable disant que numériser un répertoire publié et le distribuer ne
constituait pas du plagiat.
- Dans la grande majorité des cas, une demande concernant
la déontologie n'obtient jamais de réponse des Sociétés ou de la
Fédération.
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