réponse partielle de
Bibliothèque et Archives du Québec
C'est ce que j'ai reçu de plus éclairant, jusqu'à présent.
Désolante tout de même, en catimini, un ministère serait passé outre le Code Civil... ouach!
Ce qui me plaît, c'est la mention d'un «protocole»... !? L'argument sur les «accords» a plutôt l'allure d'un prétexte; je n'aime pas ça du tout me faire tenir des propos sucrés, comme si je n'allais pas me rendre compte de l'astuce.
Ce qui est assommant, c'est de voir la Société de Généalogie Canadienne Française faire du lobbyisme sans prendre la peine de s'inscrire au fichier. (La S.G.Q. a fait sa demande en 2001, la loi sur le Lobbyisme est de 2002, je crois). D'ailleurs, «2001» me fait croire que l'argument farfelu sur l'«ajout de 2001, au Code Civil», proviendrait de la S.G.Q. Assommant de constater la ressemblance avec la liste électorale volée de 2003...
Et, le «sic» de M. Lamarre fait un peu rigole...
J'en ai profité pour faire mon prêche,
moi aussi :
Bonjour,
Merci beaucoup pour cette réponse partielle, j'ai fait de nombreuses demandes d'accès concernant ces «formulaires de mariage 1926-1997» et cette réponse est de loin la plus éclairante que j'ai pu obtenir jusqu'à présent.
Je voudrais y ajouter cette demande, s'il-vous-plaît.
S'il n'est pas possible de me donner copie des demandes de ces 2 sociétés, j'aimerais simplement savoir s'il y est fait mention du «Code de Déontologie des Généalogistes». J'aimerais savoir ce qu'on entend par «protocole».
Aussi, je ne comprends pas ce que signifie : « Enfin, à titre informatif, les accords signés entre Ies sociétés et le ministère de la Santé et des Services sociaux prévoyaient que des copies de l'index seraient disponibles dans les centres d’archives de BAnQ. II n’ est cependant pas prévu. que les formulaires soient disponibles sur le portail de BAnQ.».
Je croyais que les images et l'index étaient déjà aux centres d'archives depuis, au moins, 1997. Pourquoi le M.S.S.S.Q. aurait-il besoin de l'«accord» de ces sociétés pour que les copies de l' index soient disponibles à la BAnQ, après 2003?
merci
Natalie Bédard
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le Code de Déontologie du Généalogiste, c'est un leurre, en 18 ans il n'a jamais été appliqué:
Mon intérêt pour ce "Code" provient du fait qu'il a permis un vol éhonté à la propriété intellectuelle; mépris à la confidentialité et plagiat se soutiennent et souvent se confondent en généalogie.
- «la fédération se contrefout de son propre code de déontologie» - Denis Beauregard, ex-administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française.- «Le code de déontologie a été introduit uniquement dans le but d'inciter le directeur de l'état civil à rendre disponible les registres récents après la loi 125 qui a interdit leur accès aux généalogistes à partir du début de 1994. Il n'a pas pour but de taper sur les doigts des généalogistes ou de faire une sorte de tribunal. Ce n'est qu'un ensemble de vœux pieux et rien de plus.» - le même
- «Il faut dire que ce code de déontologie avait pour seule raison d'être d'inciter le gouvernement à nous redonner un accès aux données récentes de l'état civil, ce qui n'a rien donné. » - le même
- «Alors, vous voyez bien qu'il est inutile de se plaindre auprès de la fédération : elle n'applique même pas son propre code de déontologie... La seule différence entre une plainte d'une personne connue et d'une inconnue est que l'inconnue ne recevra pas de réponse. Autrement dit, ce code est une vraie blague» - le même
Les propos suivants concernent toujours la même demande d'enquête en déontologie :
- «je ne suis pas étonné que vous n'ayez pas reçu de réponse. Les plus hautes instances de la fédération ont trempé dans le commerce de cd plagiés, ils ont craint que d.b.. leur envoie au visage leur propre turpitude». - Bertrand Desjardins, directeur retraité du PRDH, département de démographie, Université de Montréal
- «vous attendez une réponse de gens qui sont à la fois juge et partie» - le même
- «Je tiens à vous préciser que la fédération propose un Code de Déontologie à ses membres, mais ne peut l'imposer. Elle n'a pas de pouvoir coercitif quant au actes des individus ...» - Michel Banville, président de la F.Q.S.G.
(Je lui ai demandé d'au moins faire en sorte que les sociétés qui ne se sentaient pas tenues à respecter le " Code" le mentionnent sur leur site, où elles affichent leur "Code". M. Banville ne pas répondu)
- «Prenez vous un avocat» (à plusieurs reprises, en haussant le ton) - Albert Cyr, ex-président de la F.Q.S.G.
- «c'est moi qui leur ai dit de ne pas répondre» - le même
- (la réponse que j'ai reçu pour avoir demander pourquoi on n'avait pas répondu à ma demande d'enquête en déontologie) : «parce que je ne vous connais pas, je ne sais pas si vous êtes membre et que je ne connais pas vos compétences en généalogie» - Micheline Perreault, dg SGCF
- «Dossier clos», à 2 reprises. - Gisèle Monarque, présidente de la S.G.C.F.
- jamais obtenu de réponse de Marcel Fournier, ex-président de la S.G.C.F. (Outre ce plagiat, 2 autres plagiats géants ont été faits durant son mandat qui ont bénéficié de la complaisance de la S.G.C.F. Entre autres on y a encouragé les membres de cette société à se servir dune liste électorale volée, sans les aviser de l'illégalité du geste, pour en faire des utilisateurs et déclarer en cour que la liste électorale était «devenue une donnée publique». (Me Denis Racine qui était au moment de la diffusion de la liste volée, président de la Fédération, déjà avocat de l'Institut Drouin dont le président était aussi au c.a. de la Fédération...).
- «Protection du publique», le but que devrait avoir un Code de Déontologie et Responsabilité : J'ai fait la preuve très minutieusement d'un plagiat énorme. On n'a jamais voulu la regarder. Le plagiaire, Denis Beauregard, a été un administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française, c'est cette société qui a diffusé et fait la promotion de ce plagiat; d'après le Code, c'est aussi elle qui devait faire une enquête en déontologie...
Le plagiat est en ligne, j'ai demandé simplement à ce qu'on constate que les quelque 60 exemples illustrant ma preuve ne comportaient pas de mention au livre plagié (de peur que le plagiaire ne les ajoute, et me fasse du tort). Il m'avait d'ailleurs menacé de me mettre en demeure à 2 reprises. La S.G.C.F. n'a même pas voulu confirmer que ces absences de références étaient exactes; ils ne m'ont même jamais répondu. (administrateurs de la S.G.C.F. : Pierre Benoît, Guy Desjardins, Sylvie Tétreault). Épeurant.
- Je n'ai jamais réussi à tirer une seule phrase, d'un administrateur en poste à la SGCF comportant le mot «Déontologie».
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Mon intérêt pour ce "Code" provient du fait qu'il a permis un vol éhonté à la propriété intellectuelle; mépris à la confidentialité et plagiat se soutiennent et souvent se confondent en généalogie.
- «la fédération se contrefout de son propre code de déontologie» - Denis Beauregard, ex-administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française.- «Le code de déontologie a été introduit uniquement dans le but d'inciter le directeur de l'état civil à rendre disponible les registres récents après la loi 125 qui a interdit leur accès aux généalogistes à partir du début de 1994. Il n'a pas pour but de taper sur les doigts des généalogistes ou de faire une sorte de tribunal. Ce n'est qu'un ensemble de vœux pieux et rien de plus.» - le même
- «Il faut dire que ce code de déontologie avait pour seule raison d'être d'inciter le gouvernement à nous redonner un accès aux données récentes de l'état civil, ce qui n'a rien donné. » - le même
- «Alors, vous voyez bien qu'il est inutile de se plaindre auprès de la fédération : elle n'applique même pas son propre code de déontologie... La seule différence entre une plainte d'une personne connue et d'une inconnue est que l'inconnue ne recevra pas de réponse. Autrement dit, ce code est une vraie blague» - le même
Les propos suivants concernent toujours la même demande d'enquête en déontologie :
- «je ne suis pas étonné que vous n'ayez pas reçu de réponse. Les plus hautes instances de la fédération ont trempé dans le commerce de cd plagiés, ils ont craint que d.b.. leur envoie au visage leur propre turpitude». - Bertrand Desjardins, directeur retraité du PRDH, département de démographie, Université de Montréal
- «vous attendez une réponse de gens qui sont à la fois juge et partie» - le même
- «Je tiens à vous préciser que la fédération propose un Code de Déontologie à ses membres, mais ne peut l'imposer. Elle n'a pas de pouvoir coercitif quant au actes des individus ...» - Michel Banville, président de la F.Q.S.G.
(Je lui ai demandé d'au moins faire en sorte que les sociétés qui ne se sentaient pas tenues à respecter le " Code" le mentionnent sur leur site, où elles affichent leur "Code". M. Banville ne pas répondu)
- «Prenez vous un avocat» (à plusieurs reprises, en haussant le ton) - Albert Cyr, ex-président de la F.Q.S.G.
- «c'est moi qui leur ai dit de ne pas répondre» - le même
- (la réponse que j'ai reçu pour avoir demander pourquoi on n'avait pas répondu à ma demande d'enquête en déontologie) : «parce que je ne vous connais pas, je ne sais pas si vous êtes membre et que je ne connais pas vos compétences en généalogie» - Micheline Perreault, dg SGCF
- «Dossier clos», à 2 reprises. - Gisèle Monarque, présidente de la S.G.C.F.
- jamais obtenu de réponse de Marcel Fournier, ex-président de la S.G.C.F. (Outre ce plagiat, 2 autres plagiats géants ont été faits durant son mandat qui ont bénéficié de la complaisance de la S.G.C.F. Entre autres on y a encouragé les membres de cette société à se servir dune liste électorale volée, sans les aviser de l'illégalité du geste, pour en faire des utilisateurs et déclarer en cour que la liste électorale était «devenue une donnée publique». (Me Denis Racine qui était au moment de la diffusion de la liste volée, président de la Fédération, déjà avocat de l'Institut Drouin dont le président était aussi au c.a. de la Fédération...).
- «Protection du publique», le but que devrait avoir un Code de Déontologie et Responsabilité : J'ai fait la preuve très minutieusement d'un plagiat énorme. On n'a jamais voulu la regarder. Le plagiaire, Denis Beauregard, a été un administrateur de la Société de Généalogie Canadienne Française, c'est cette société qui a diffusé et fait la promotion de ce plagiat; d'après le Code, c'est aussi elle qui devait faire une enquête en déontologie...
Le plagiat est en ligne, j'ai demandé simplement à ce qu'on constate que les quelque 60 exemples illustrant ma preuve ne comportaient pas de mention au livre plagié (de peur que le plagiaire ne les ajoute, et me fasse du tort). Il m'avait d'ailleurs menacé de me mettre en demeure à 2 reprises. La S.G.C.F. n'a même pas voulu confirmer que ces absences de références étaient exactes; ils ne m'ont même jamais répondu. (administrateurs de la S.G.C.F. : Pierre Benoît, Guy Desjardins, Sylvie Tétreault). Épeurant.
- Je n'ai jamais réussi à tirer une seule phrase, d'un administrateur en poste à la SGCF comportant le mot «Déontologie».
- La Société la moins éthique est probablement celle des Cantons-de-l'Est, qui cumule les accrocs à la Déontologie. Copies de livres publiées, rééditions de ces livres (utilisation de prête-nom pour dissimuler ce fait), commercialisations de données nominatives, mépris d'un décret de l'évêque... On ne répond jamais lorsqu'il est question de déontologie.
J'en ai fait par à la Fédération (Mme Marie Royal) et lui ai demandé de créer un comité d'éthique. On m'a envoyé suite à cette demande un communiqué envoyé aux Sociétés demandant d'aviser leurs membres de respecter le Code de Déontologie et particulièrement les articles concernant le plagiat.
Quelques semaines plus tard, un des administrateurs de la Société des Cantons-de-l'Est responsables de ces entorses à l'éthique a quant à lui, reçu une récompense (Pierre Connolly).
C'est ça la Déontologie en généalogie, faire semblant devant les membres d'être soucieux du respect du droit d'auteur; et encourager les tricheurs.
- Un comité d'éthique, uniquement créé pour protéger les publications des Sociétés, a fini par être instauré, suite aux pressions que j'ai faites. Initialement, la Fédération avait émis un communiqué incroyable disant que numériser un répertoire publié et le distribuer ne constituait pas du plagiat.
- Dans la grande majorité des cas, une demande concernant la déontologie n'obtient jamais de réponse des Sociétés ou de la Fédération, s'il y en a une, c'est nécessairement un refus, laconique et non motivé.-------------------------------------------------------------------------------------------------------
Amen !
votre moujik,
N
illlustration :
Pinocchio, portrait n°2, 1999, d'Igor Makarevich. Galerie Blue Square, Washington.
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