Le Supplice d'Eugène
et 138...139...140...141
ouille ouille ouille !
Veux-tu conduire G-F à la ruine ? Crois-moi, Tu les mérites bien ces coups de bâton.
... 142 ...143 ...144 ...145
ayayaye !
Ne pas voir quand un menteur dit la vérité, quel généalogiste international tu fais !
146... 147 ...148 ...
ouille !
149 ... et le dernier 150
Voila.
Tu me heurtes. Je ne sens plus.
Tu m'éveilles. Je ne sens plus.
Tu me blesses. Je ne sens plus.
Tu me parles. Je n'entends plus.
Tu cries vers moi. Je n'entends plus.
Tu m'ordonnes. Je n'entends plus.
Tu m'éveilles. Je ne sens plus.
Tu me blesses. Je ne sens plus.
Tu me parles. Je n'entends plus.
Tu cries vers moi. Je n'entends plus.
Tu m'ordonnes. Je n'entends plus.
Grigor de Narek
J'ai reçu en tout, 3 lettres.
- réponse à ma demande du 23 septembre.
Je demandais si le MSSSQ avait exigé des conditions à la reproduction de l'index BSQ 1926-1997 à la Société de Québec.
ci-contre lettre de 1997, de Claude Lamarre.
- réponse à ma demande du 1er octobre (2 lettres)
je demandais toutes les communications entre le MSSSQ (Claude Lamarre) et la SGCF (Marcel Fournier) concernant les images du BSQ 1926-1997
Et, la très surprenant réponse de M. Claude Lamarre (Monsieur sic) ... avec toute une erreur administrative !
:: Nicolas Palkine ::
une nouvelle de Léon Tolstoï
De véritables bastonnades.L. Tolstoï raconte dans cette nouvelle,
que 1 soldat sur 5 était battu à mort
du temps du Tsar Alexandre Premier
et ce fut pire sous le tsar Nicolas "Palkine"
(palkine provient de palka, bâton)
(extrait)
(un vieil homme de 80 ans parle ...)
Je me suis rappelé les derniers temps du règne d’Alexandre, quand vingt soldats sur cent étaient battus jusqu’à la mort ; que devait être Nicolas si comparé à lui, on qualifiait Alexandre de bon ? – J’ai continué à servir sous Nicolas, dit le vieillard, et aus-sitôt il s’anima et commença à raconter. Quel temps ! Alors, pour cinquante coups de verge, on n’enlevait même pas le pan-talon ; et avec cent cinquante, deux cents, trois cents coups… on fouettait jusqu’à la mort. Il parlait avec dégoût, horreur, mais non sans fierté, de la bravoure d’autrefois. – Et le bâton ! Il ne se passait pas de semaine sans qu’un ou deux hommes du régiment ne fussent battus à mort. Mainte-nant, on ne sait plus ce que c’est que le bâton, mais autrefois ce petit mot ne sortait pas de la bouche : bâton, bâton. Chez nous, les soldats appelaient l’empereur, Nicolas Palkine ; ils disaient Nicolas Palkine au lieu de Nicolas Pavlovitch. Et voilà, quand on se rappelle ce temps, continua le vieillard, quand on se le rap-pelle, c’est affreux. Que de péchés sur la conscience ! On te don-nait cent cinquante coups de bâton pour la mauvaise conduite d’un soldat (le vieillard était sous-officier), et toi, tu lui en don-nais deux cents, cela ne te guérissait pourtant pas ; et voilà le péché. Les sous-officiers battaient les jeunes soldats jusqu’à la mort : on frappait à coups de crosse ou de poing dans la poitrine ou à la tête, le soldat mourait, et jamais aucune réprimande. Il mourait parce qu’il avait été battu et les autorités écri-vaient : « est mort par la volonté de Dieu » et c’était tout. Mais alors, est-ce que je comprenais cela ? On ne songe qu’à soi, et maintenant on se met sur le poêle, on ne dort pas la nuit et l’on pense : ce sera bien si l’on te donne la communion chrétienne et le pardon – autrement c’est terrible ! Quand on se rappelle tout ce qu’on a fait souffrir, à quoi bon l’enfer, c’est pire que l’enfer…
Je me représentais vivement tout ce que devait se rappeler dans sa solitaire vieillesse cet homme mourant, et, bien qu’il me fût étranger, j’en étais terrifié. Je me rappelais toutes les hor-reurs, outre le bâton, auxquelles il avait dû participer. Je me rappelais comment on faisait passer les soldats aux baguettes, jusqu’à ce que mort s’en suive, les assassinats, les pillages des villes et des villages à la guerre (le vieillard avait participé à la campagne de Pologne), et je le priai de me parler de tout cela ; je lui demandai de me donner des détails sur la punition des ba-guettes, et il me raconta toute cette terrible torture. L’homme a chaque main liée à un fusil, et on le pousse entre deux files de soldats ; ceux-ci tiennent un bâton à la main et tous frappent la victime ; derrière les soldats circulent des officiers qui crient : « Frappe plus fort, frappe plus fort ! » Le vieillard criait ces mots d’une voix impérieuse, se les rappelant avec une satisfaction évidente, et imitant ce ton de bravoure autoritaire. Il racontait ces détails sans regrets, comme s’il se fût agi de bœufs destinés à la boucherie. Il disait comment un malheureux fut traîné aller et retour, entre les files ; comment l’homme frappé résiste et tombe ; comment on aperçoit tout d’abord les traînées sanglantes ; comment le sang coule ; comment tombe en lambeaux la chair meurtrie ; comment on aperçoit les os ; comment le malheureux crie d’abord, puis hurle sourdement à chaque coup, puis se tait ; comment le médecin préposé s’approche, examine le pouls, regarde et décide si l’on peut encore battre l’homme sans le tuer ou s’il faut attendre qu’il soit guéri pour recommencer et achever de lui donner la quantité de coups que des bêtes féroces, Palkine en tête, ont décidé de lui donner ; le docteur emploie sa science à empêcher l’homme de mourir avant d’avoir enduré tous les tourments que peut supporter son corps. Quand il ne peut plus marcher, on le met sur un manteau et on le porte à l’hôpital où on le soignera pour lui donner, quand il sera guéri, les mille ou deux mille coups qu’il n’a pas encore reçus et qu’il n’a pu supporter en une fois. Il racontait que les soldats demandaient la mort, mais on ne la leur donnait pas d’un coup, on les soignait pour les battre une deuxième et une troisième fois.
|
j'ignore si 1 sur 5 est possible,
mais tout de même...
:: l'envers de l' "âme russe" ::
Un "Eugène" à St-Pétersbourg le 2 août dernier |
Воздушно-десантные войска (ВДВ) :
des parachutistes / troupes aéroportées,
s'en prennent à un militant gay.
Votre méchant moujik,
N
(à suivre dans mon prochain message)
:: La réhabilitation d'Eugène ::
nouvelle demande au MSSSQ
L'Institut Drouin : l'appropriation du bien -public
le vol banalisé de données par les sociétés
rappel : (ci-contre) la lettre de Jean Pierre P. à Eugène notre généalogiste international. Il n'y est pas
question de permission pour l'Institut Drouin.
c'est la réponse du msssq à ma demande d'accès
qui confirmera le tout. Et, ça sent bien mauvais...
Monastères Russes.
Alexei Ilich Komech ;
photographies de Vadim Evgenjevitch Gipenreiter ;
Paris : Citadelles & Mazenod, 2001. 239 p.
ci-contre : Monastère St-Georges, Novgorod.
Grigor de Narek
Les trésors de la poésie universelle - Roger Caillois
et J. -Clarence Lambert. Gallimard /Unesco, 1986.
Un livre que j'ai lu il y a bien longtemps. J'avais dans mes notes de lecture ce poème de G. de Narek, parce qu'il date des débuts de l'an 1000, au moment de la christianisation de l'Arménie, et il me semblait avoir une allure très "moderne".
Nicolas Palkine
TOLSTOï, LÉON : Contes et nouvelles - Tome III
http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.php?auteur=Tolsto%EF_L%E9on
«Le récit Nicolas Palkine est une note de voyage prise par Tolstoï, une fois qu’il allait à pied de Moscou à Toula (près de deux cents kilomètres). Un de ses amis recopia cette note, et la répandit en manuscrit. La police intervint, et plusieurs personnes en possession desquelles on la trouva furent incarcérées.»
le «Protocole» demandé par la S.G.Q. aux sociétés diffusant l'index du BSQ 1926-1997
ces liens :
http://3.bp.blogspot.com/-
http://4.bp.blogspot.com/-
http://3.bp.blogspot.com/-xuO_
un "eugène" gay :
une photo de Libération
http://md1.libe.com/photo/541543-former-russian-paratroopers-shove-gay-rights-activist-kirill-kalugin-aside-to-stop-his-one-man-prote.jpg?modified_at=1376064105&width=825
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