я поздравляю с Новым годом 2014
je vous fais mes voeux pour le nouvel an (orthodoxe)
«Une ville bâtie sous le niveau de la mer...»
«Под морем город основался...»
- le Cavalier de Bronze, d'Alexandre S. Pouchkine
BILAN - 2013
première partie
la seconde partie sera sur la confidentialité sur les forums de Généalogie
(Yahoo Group [ GFQ], GenAide, Vos Origines / Your Roots, Planète Généalogie)
SGCE | Société de Généalogie des Cantons-de-l'Est.
Les meilleurs cancres de la Déontologie, selon G-F, semblent bien être MM. Pierre Connolly, Guy Létourneau et Jacques Gagnon qui nieront encore longtemps, malgré l'évidence, avoir copié de but en blanc de nombreux livres pour les re-publier et, certains même, sous des prête-nom !
G-F a écrit, maintes et maintes fois au c.a. de la SGCE, qui n'a jamais répondu.
Si Denis Beauregard a déjà déclaré (avant de voir ma preuve) sur son plagiat-géant du dictionnaire Jetté: «je suis parti de zéro.» … Avec une franchise similaire, Pierre Connoly y va d'un extravagant : «Nous refaisons le répertoire BMS depuis zéro». Alors que Guy Létourneau, président en 2003-04, nous a fait bien rire, parce que malgré les images montrant de façon flagrante les copies de livres, il nous a écrit : «nous COPIONS nos informations dans les registres des paroisses». Pour tenter,la bonne foi dans un petit cas, il a en outre ajouté : « Nous avons fait une entorse quand nous avons copié directement un volume déjà imprimé, soit celui des mariages de 6 paroisses du comté de Rouville. Il n’était plus disponible en librairie et plusieurs membres désiraient l’avoir».
«Le volume imprimé » dont parle G. Létourneau, n'existe même pas. Pour faire ce répertoire de 6 paroisses, ce sont 2 livres que la S.G.C.E. a dû copier et ces volumes ne sont pas écoulés. Par ailleurs son argument est totalement spécieux, même s'ils avaient été écoulés ça ne leur permettait pas du tout de les copier !
*
Tant de beaux mensonges ont permis à G-F, ce que jamais jusqu'alors nous n'avions eu l'occasion de faire : écrire à un l'Évêque ainsi qu'au Chancelier du diocèse. À notre meilleure satisfaction, on nous a répondu, la réponse est évidemment en ligne.
*L'absence d'éthique à cette société est sans-borne : Quelques semaines seulement ont suffi à la SGCE pour, qu'après le décès de M. René Jetté, au printemps 2003, on recopie frénétiquement ses répertoires publiés par Benoît Pontbriand. Plusieurs de ses livres étaient déjà re-publiés, sans la moindre mention à Jetté et à Pontbriand, la même année! La création du «fichier Connolly» revient donc grandement à René Jetté, ce qu'évidemment Pierre Connolly et la SGCE se refusent d'admettre. D'ailleurs, la bonne foi de M. Connolly prêtre à la rigolade.. mais, fort heureusement, l'humour facile n'est pas du tout ma tasse d'athée.
*
|
Marigot & Cie
La démocratie en généalogie est aussi épouvantable que le Code de Déontologie. Une honte, relève-toi Margoton, voyons donc!
Au Marigot, c'est épouvantable, une pure risée; un conseil exécutif d'étudiants d'école secondaire aurait bien meilleure tenu. La Société de Généalogie Canadienne Française et la Société de Québec ne sont pas tellement plus démocratiques. (voir : Pouach! )
*
La FÉDÉRATION
persiste avec son explication bancale sur son impuissance à faire valoir le "Code De Déontologie"
Michel Banville a répété sa fadaise : à savoir que la Fédération ne peut intervenir quand une société n'applique pas le Code de Déontologie en refusant de faire enquête sur un cas de déontologie, dans une explication très laconique, et toujours avec une nette condescendance : «Je considère que cette réponse vient clore le sujet en ce qui concerne la fédération.»
Il est impossible d'avoir plus d'explication concernant l'article 4.16 des Règlements de la Fédération. (la tricherie provient de cet article...) Évidemment, quand la Fédération utilise le Code, pour ce qu'il a été créé, tromper les pouvoirs publics, il ne fait plus de distinction entre les pouvoirs des Sociétés et de la Fédération... :
Des "démocraties" pareilles : c'est décadent.
L'abus de confiance des Sociétés/Fédérations envers leurs membres et leurs bénévoles est devenu une façon de faire, un droit. Une culture s'est installé qui veut que la Fin Justifie les Moyens, prétextes à des dissimulations, à des conflits d'intérêt et à des esquives quand il s'agit d'éthique, incompatibles avec la démocratie.
*
On a pu, au cours de l'année, saluer le grand courage de Me Serge Bouchard, avocat et «conseiller juridique» pour la SGQ, qui a modifié son site professionnel, après avoir reçu un courriel de G-F, y soustrayant la mention au mémoire qu'il a écrit et qui fut présenté à la consultation publique de la CAI de 2002.
Me Bouchard était aussi conseiller en 2009-10 lorsque la SGQ (présidé par André G. Bélanger et Guy Parent) a décidé de ne pas tenir compte de son entente signée avec le MSSSQ en 2000, et d'ainsi laisser une compagnie privée diffuser l'Index du BSQ.
*
EN COMPLÉMENT
Jean Pierre Pépin, propriétaire de l'Institut Drouin, administrateur du Marigot (~2002-2009), de la Société de Généalogie Canadienne Française (~2000-2004) et de la Fédération (2005-06).
2002 : Déclarer qu'il ferait «une calvette à toute entourloupette» aux lois, aux «bureaucrates» devant une consultation publique de la CAI alors qu'il est administrateur de 2 sociétés et tenu de faire respecter un Code de Déontologie factice, qui n'a jamais eu pour but la Protection du Public...
2002 : Se présenter à titre de «vice-président» de la SGCF (présidée par Marcel Fournier) pour faire du lobbying auprès du MSSQ - alors qu'il aurait dû s'adresser à la CAI. Un lobby avide dont bénéficie maintenant l'Institut Drouin...!
2005-06 : Imposer comme vice-président du Marigot (présidé par Michel Pratt) une liste électorale volée, alors qu'il est clairement en conflit d'intérêt; ils ne font pas voter l'assemblée, n'informent pas les membres de l'illégalité du geste... Il est aussi au c.a. de la Fédération avec son avocat, Denis Racine, (qui n'y voit pas non plus de conflit d'intérêt!) et distribuent leur liste électorale volée à partir de la Fédération...
2005-06 : Alors qu'il est sur le c.a. de la Fédération avec son avocat et président, Denis Racine, le défenseur du Code de Déontologie-non-éthique, ils modifient les Règlements de la Fédération afin d'ajouter une nouvelle catégorie de membre, le «membre bienfaiteur», faite sur mesure pour leur dernière magouille, le «Groupe-Nécro», un «organisme» bidon, non enregistré. En trichant sur le vocabulaire : Le «Groupe» ne regroupe rien du tout, Sébastien Robert – copropriétaire de l'Institut Drouin- en est dit le «coordonnateur», l' «organisme» est dit «commandité» par l'Institut Drouin, on lui donne une fausse allure d'organisme à but non lucratif ... [note : la Loi sur les Compagnies ne permet pas que par son nom une compagnie laisse «faussement croire qu'elle est un groupement sans but lucratif» ].
Ont appuyé ce «projet» : le PRDH (du plus franc et indépendant des universitaires, Dr Bertrand Desjardins), francogène (du plus original de tous les généalogistes, Denis Beauregard), Planète Généalogie (du meilleur ami que j'ai, Sylvain Croteau et du plus grand constitutionnaliste que je connaisse, Denis Racine), SGCF (de mon très estimé et fieffé mentor, Marcel Fournier), Marigot (de mon vieux pot de toujours, on était chez Les Petits Débrouillards ensemble, Michel Pratt)...
2007 : Se présenter devant la commission gouvernementale Bouchard-Taylor avec une liste électorale volée (sans en donner la source, bien entendu) et y déclarer que les sociétés de généalogie «adhèrent à un code de déontologie visant à maintenir des standards élevés de recherche et de diffusion de l’information généalogique».
2008 : «...avec le développement de l'Internet, la consultation en ligne de documents divers, recensements, registres numérisés, liste électorale, banques d'information, annuaire des citoyens (...) » - propos tenus lors d'une allocution publique par Denis Racine, alors qu'il était président de la Fédération et avocat de l'Institut Drouin (enregistrement video)». [par son Code de Déontologie, un avocat ne peut encourager des gens à commettre un acte illégal].
2009-10 : Dissimuler aux membres et aux bénévoles de la SGCF (présidée par Gisèle Monarque) et de la SGQ (présidée par André G. Bélanger) que la possession de l'Index du BSQ n'est, entre autres, pas autorisée pour une compagnie privée, … Incidemment, en 2009, Denis Racine et Sébastien Robert sont, ensemble, sur le c.a. de la Fédération.
2010-11 : Utiliser le Marigot pour dissimuler le vol par l'Institut Drouin du PRDH 1621-1799 -dont est "responsable" Bertrand Desjardins. Sébastien Robert est en outre, sur le c.a. du Marigot , avec Michel Pratt, ainsi que sur celui de la Fédération...
2012 : Marcel Fournier et Michel Pratt vont "témoigner" devant la Cour Supérieure au nom de leurs membres à qui ils ont dissimulé des faits et vont dissimuler à la Cour le fait que MM. Pépin et Racine, étaient administrateurs avec eux et distribuaient, depuis la Fédération, la liste électorale volée.... (à ce moment, M. Fournier n'est plus administrateur de la SGCF dont la présidente est Gisèle Monarque).
Une Bande de bouffons sinistres et/ou de cyniques tricheurs qui
ont fait de la Fédération de Généalogie un Régime de la Magouille.
* |
Décembre 2013
La Cour d'Appel a, sans surprise pour personne (y compris pour mon NoBody), confirmé qu'une liste électorale était légitimement confidentielle.
Je viens de lire la décision, auparavant je n'avais cherché rapidement que quelques mots : «altruisme», «Pratt», «Fournier», «europ...» . Sans succès :-P
Là, j'ai lu. Il est clair que tout ce qui concerne les tricheries pour imposer cette liste volée dans les sociétés et auprès des généalogistes a été occulté... La mauvaise foi de MM. Pépin et Racine est illimitée. Ça l'a un peu gâté mon plaisir, mais je demeure enchantée de voir Me Racine et son incohérent bobard «anticonstitutionnel» -obtenu en violant les règles de constitution de la Fédération de multiples façons!- s'être fait remettre les pendules à l'heure.
On se saura jamais - bêêêhsûr- comment les administrateurs de société se justifieront d'avoir mis cette liste volée sur les ordis de leur société.
|
Et, le BSQ... !
l'Institut Drouin, une fois de plus, nous mène à la dérive de tous les mensonges.
Aïe! Aïe! Aïe! C'est que je n'ai pas le talent de Gogol pour dépeindre le sordide de l'entreprise de son Tchitchikov, ni de Tchékhov et de son outrageant candélabre ou de Gontcharov et de son fameux Oblomov, pour décrire cette affaire... Je vais essayer de "résumer" cela en 1 seul texte, ce que je n'ai pas encore fait.
Il vous faudra être conciliant envers moi, je vais faire de mon petit mieux, avec un grand merci à vous!
Voici :
Deux lettres, au contenu erroné, provenant du même ministère et de la même personne. Un incompétent impénitent (ces parenthèses peuvent renfermer un "sic" ou "euphémisme" ou rien du tout, à votre goût), à ce que j'ai pu moi-même constater, assez longuement. Mais, ce monsieur du MSSSQ a tout de même fait de vrais efforts pour accommoder les généalogistes et, tout particulièrement, la SGQ, même s'il n'en avait pas le droit. [note : toutes les lettres sont au bas dela page]
Une des lettres à la SGCF donnent les images du BSQ comme étant «du domaine public». MM. Fournier et Pépin ont certainement rigolé en recevant pareille réponse, mais que cela ne tienne, ils l'ont pris au mot comme s'il se fut agi de parole du Législateur "lui-même". Mais, le hasard était moins bête qu'on le dit et ne manquant pas non plus d'humour; nos deux compères Fournier et Pépin sont allés , à peine une poignée de semaines après avoir reçu cette lettre, devant la consultation publique de la CAI, et ont ainsi laissé un témoignage (qui est toujours en ligne) trahissant qu'ils savaient fort bien avoir reçu une réponse erronée. En, "probes" négociateurs, ils se sont bien gardés de mentionner cette lettre, et ont tenu des commentaires opposés à ce qu'on leur avait écrit.
La seconde lettre, à la SGQ, indique qu'une compagnie privée ne peut utiliser l'Index du BSQ, mais fait état d'un «copyright» sur des dates de naissance et de décès. Hum! on la rejète, erronée ! Et voila, le crédible Législateur-lui-même ne l'est déjà plus (ça ne fait plus l'affaire de l'Institut Drouin, qu'il le soit)... Il serait d'usage d'appeler cela de la mauvaise foi, mais la déontologie, pour M. Pépin ça l'a été inventé pour son profit; et dans ce cas-ci, il est de taille ! Alors, il n'y a pas de place pour la tergiversation. D'ailleurs, par bonheur, son retors avocat préside au conseil d'administration de la Fédération, comme il le faisait en 2005, alors, qu'ensemble ils diffusaient leur liste électorale volée, avec le "probe" appui de MM. Fournier et Pratt et leurs inimitables manières à la démocratie-libre-service (ils se "prévalent" de voter eux-mêmes à la place de leur assemblée quand ils ne veulent pas d'opposition!).
La Société de Généalogie de Québec (André G. Bélanger) et la Société de Généalogie Canadienne Française (Mme Gisèle Monarque) ont consenti au «projet de diffusion» de l'institut Drouin, la première apportant l'Index, le seconde, les images et le bénévolat, l'institut Drouin, s'"offrant" à numériser (je présume), les images ... Ces derniers, bénéficiant, une foi de plus, d'une méritoire situation de Juge et Partie que leur accorde un simulacre de Code de Déontologie; les règles de respect de la Vie Privée n'ont pas fait le poids devant tant de respectabilité.
ajout (08/01) : j'ai oublié 2 faits des plus intéressants. 1) la demande (2000) faite par la S.G.Q. comportait des engagements de la part de la SGQ quant au respect du Code de Déontologie et assurant le ministère de l'éthique des autres sociétés auxquelles elle prévoyait vendre le cdrom. 2) Après avoir obtenu la permission de distribuer le cdrom du BSQ à certaines sociétés sans but lucratif autorisées par le MSSSQ, la SGQ a élaboré une convention que les Sociétés devaient accepter. La SGQ mettait beaucoup d'emphase sur le respect de la propriété intellectuelle, (ce même copyright que maintenant elle renie...) par ex.: «pour des fins de recherche personnelle», «pour des fins généalogiques» et rappelait au respect de la Loi sur les renseignements personnels ainsi qu'à celle sur les droits d'auteur. (ce texte se nommait "protocole". voir image). Ainsi, quand ça l'accommode, la SGQ défend un copyright et le Droit au Respect de la Vie Privée, puis change RADICALEMENT d'idée (sans demander conseil à son assemblée!) ...
Le changement de ton est réellement choquant, entre l'entente de 2000 et son rejet de 2009. Ces manières de requin ne plairaient certainement pas à tous les généalogistes, qui ne sont pas, tels que l'Institut Drouin, méprisant des lois et du droit au respect à la vie privée ou "rompu" aux mérites de voir une compagnie privée se comporter ou se confondre, quand ça l'accommode, en organisme à but non lucratif. M. Bélanger a disgracieusement délaissé ses obligations de président, en n'expliquant pas tout à son assemblée pour qu'elle puisse judicieusement s'exprimer! La tromperie quant au respect des lois est identique à ce qu'il avait été faite avec la liste électorale volée... La marque de Me Racine!
Si l'assemblée des membres de la Société de Québec n'a pas eu à se prononcer sur cette volte-face c'est, fort probablement, parce qu'on craignait trop qu'elle refuse pareille "aubaine". MM. Racine et Pépin sont spécialistes en déprédation et contrôle de démocratie, il ne suffit qu'à regarder comment ils ont étouffé les assemblées à la Fédération, au Marigot et à la SGCF, entre autres, pour imposer leur liste électorale volée, et aussi, utilisé le Marigot pour dissimuler le vol du PRDH.
M. Pépin ne remettra certainement pas en question le fait qu'il ait lui-même fait, dans une société de généalogie, du lobbying au bénéfice de sa propre compagnie (il lui aurait fallu, d'ailleurs, faire ses demandes auprès de la CAI). Les bénévoles, on s'en doute, n'ont pas su qu'une compagnie privée n'est pas autorisée à diffuser le BSQ; on voulait leur main-d'œuvre gratuite et non pas s'ennuyer à entendre leurs scrupules. Et, c'est indigne de la part de président(e)s de société de faire faire des choses à des gens tout en leur cachant l'"indicible".
Voila.
La Société de Généalogie de Québec, la Société de Généalogie Canadienne Française et l'Institut Drouin diffusent le BSQ sans la moindre mention au respect de la Vie Privée, trompant ainsi l'ensemble des généalogistes et méprisant ce droit à des millions de personnes, parce que s'ils mentionnaient le respect de la confidentialité, ils admettraient, de fait, qu'ils savaient qu'ils tiraient grossièrement partie d'une erreur administrative.
La mauvaise foi est profitable, le mensonge aussi. Pour plaire à M. Pépin et Cie, l'ensemble des généalogistes québécois, comme ça l'a été de le cas pour la liste électorale volée, passeront, une fois de plus, pour de parfaits ignorants, pataugeant dans les droits des autres -en faisant le plus d'éclaboussures, c'est bien plus amusant ainsi -et barbouillant internet de données nominatives, capricieusement et surtout sans même se demander d'où ils ont acquis ce "droit".
Le généalogiste niais, crédule (et je m'inclus là-dedans, j'y ai déjà cru à tous ces bobards), à la veille d'obtenir sa reconnaissance internationale, sera québécois. Victoire! Et, grand merci, M. Racine, pour votre fameuse expertise en matière de Déontologie-non-éthique, et votre défense du droit inaliénable du généalogiste à faire n'importe quoi.
* complément : voir la lettre au Devoir de M. Racine, quand un fonctionnaire ne dit pas dans le sens qu'il l'entend, il appelle ça un «obscur» fonctionnaire. Mais, quand un fonctionnaire écrit des inepties, on se fait crédule, et on le prend docilement au mot! Incohérent, M. Racine, encore une fois!
|
... fin de la première partie ! |
votre moujik !
N
les lettres / textes / ententes :
les lettres / textes / ententes :
|
|
|
|
consulter les "LOIS": |
|
|
|
|
|
Eugène, le héro de ce blogue et du Poème "Cavalier de Bronze" de Pouchkine, d'après (le détail) d'une aquarelle d'Alexandre Benois. ce lien
«Antilope-gnou», Odessa, Ukraine.
(la photo est trompeuse. La sculpture se trouve sur un socle assez élevé) ) sculpture d'Alexandre Tokarev - (Александр Токарев).Du roman d'Ilf et Petrov, Le Veau d'Or
«l'Antilope Gnou» est la voiture-taxi de ..., le chauffeur.
Ostap Bender, le grand Combinateur,
les fils «du lieutenant Schmidt»...
Le Révizor de Gogol, par Pavel Filonov (le détail d'une affiche)
* Correction : contrairement à ce que j'avais écrit, M. Racine n'est pas l'auteur du Code de Déontologie (qui serait Me Serge Bouchard)... seulement un fervent utilisateur .
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire