L'institut Drouin a volé le PRDH.
Eh Ben ! M. Pratt, vous êtes lent ! Presque autant que M. Fournier et tant d'autres, qui proclament sottement que l'Institut Drouin a indexé les actes de 1621 à 1825.
Je savais que le PRDH avait été volé par l'Institut Drouin un peu plus d' une semaine avant le Congrès D'Histoire dont vous étiez organisateur et qui a servi au lancement du LaFrance.
Je le sais précisément depuis le 13 mai 2011. Et, je n'ai jamais vu le PRDH, ni le Marigot, ni l'institut Drouin, ni vous, ni M. Desjardins ou Pépin! (et je fais de la généalogie depuis mars 2007) Alors, comment vous, pouvez-vous vous obstiner à faire croire que vous n'en saviez rien !
Comment je l'ai su ?
Par M. Desjardins, sa réponse à mon courriel qui avait comme but de lui souhaiter «Bonne Retraite!» et «Je ne pourrais certainement pas manquer de vous remercier, pour le coup de main géant que vous m'avez donné (...) C'est toujours très impressionnant de vous voir à l'œuvre avec votre grande précision dans les cas d'illégitimes, les jumelages, entre autres ; et c'est comme ça que je voudrais faire de la généalogie.» (moi à M. Desjardins, le 13 mai 2011)
(ça répond entre autre à votre question à savoir pourquoi j'ai abandonné ma demande à l'UdM. M. Desjardins malgré qu'il m'ait menti pendant plus d'un an de façon épouvantable, m'a donné le meilleur coup de pouce qu'on puisse demander. J'étais débutante (quelques semaines) et je me suis entêtée à apprendre la généalogie «à la meilleure école», c'est à dire au PRDH dont j'étais la fan #1 (autoproclamée), et je me serais battue contre quiconque revendiquait "mon" titre.
M. Desjardins a toléré toutes mes bévues sans dire un mot (ni maudire)! Il a des torts -il n'est pas commode (un euphémisme) - mais là-dessus, il est irréprochable.
J'ai jamais apprécié de m'en prendre à M. Desjardins; seulement, mon blogue serait partial, si je feignais de ne pas remarquer qu'il a volé, menti et été lâche devant le vol de l'oeuvre de Jetté)
Voici la suite de mon courriel, j'ai rencontré un copain, ... , au archives nationales.
Il travaillait depuis l'automne précédent au MARIGOT.
voici ce que je raconte à M. Desjardins :
note : J'ai eu tellement honte de moi, quand j'ai su que M. Desjardins avait triché de lui avoir mentionné le nom de mon ami. J'ai grand doute qu'il lui a été fait des difficultés par ma faute.
La réponse de M. Desjardins a été une vraie gifle :
«Où et comment M. Pépin aura-t-il obtenu ce qu’il mettra en ligne pour le années avant 1800 : je ne veux pas le savoir, cela ne me concerne pas.»
C'est répugnant. Ça signifiait qu'il n'avait jamais fait les actions qu'il m'avait décrites auprès de Chenelière Édution concernant le Vol de l'oeuvre de Jetté et aussi qu'il s’apprêtait à voler le PRDH avec M. Pépin.
C'est répugnant. Ça signifiait qu'il n'avait jamais fait les actions qu'il m'avait décrites auprès de Chenelière Édution concernant le Vol de l'oeuvre de Jetté et aussi qu'il s’apprêtait à voler le PRDH avec M. Pépin.
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Voici ce que cet ami m'avait écrit concernant son boulot au Marigot pour «entrer des données»:
«Autrement dit, le PRDH se prolongera au moins jusqu'en 1850. Probablement vers la moitié 2011, l'accès jusqu'en 1825 sera disponible. Nous travaillons par branche de 25 ans.» - mon ami, transcripteur. le 10 décembre 2010.
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Alors, Monsieur Pratt, votre version revue et corrigée ne tient toujours pas la route.Il vous était indispensable d'avoir le programme (informatique) du PRDH pour entrer vos données.
Votre "un autre partenariat" est absurde (il n'y a pas de pluriel dans votre texte). D'ailleurs votre texte d'Histoire de l'Institut Drouin" le montre bien. Chronologiquement, votre "partenariat" avec le PRDH ne pouvait être après, comme vous l'indiquez vous-même dans votre "Histoire", l'indexation. C'est un non-sens.
Le PRDH a été volé, et votre rôle de président était de le savoir, et de toute évidence MM. Desjardins et Pépin ne vous l’ont pas caché. Vous avez encouragé un plagiat, en avez fait de la publicité, avez été du lancement etc... (qui utilise un plagiat est aussi plagiaire).
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Ce qui est encore plus remarquable dans vos propos, c'est que vous n'admettrez même pas que l'Institut Drouin a volé le PRDH. Mais, vous allez me casser les oreilles avec votre foutue photo et sa «propriété intellectuelle».... Cherchez l'erreur.
«Grand dommage que vous ayez abandonné votre requête auprès de l’Université de Montréal. La réponse aurait très certainement été dans le sens de ce que j’affirme.»
Me dire de poursuivre ma demande à l'université de Montréal... c'est réellement stupide !
(D'ailleurs il aurait montré que ce que vous affirmez à savoir une entente entre le PRDH, Le Marigot et l'institut Drouin est fausse (votre Histoire)... tout comme celle que vous affirmez présentement à savoir qu'il y a un «partenariat» entre l'Institut Drouin et le PRDH. Et, ainsi affirmer que votre Histoire a des sources de valeurs nulles donc indignes de celles d'un «historien»).
Je sais fort bien que le «partenariat» entre le PRDH et l'Institut Drouin c'est de la schnoutte. Tout comme l'est le texte de votre «Histoire» narrant ce partenariat.
Ça fait 3 ans que je le décrie comme «un heureux mariage à la gaumine». Et vous vous n'en avez jamais dit un mot. Pourtant, vous étiez encore membre de la Fédération et donc responsable devant ce vol de le dénoncer selon le Code de Déontologie et évidemment Nenni.
Vous pouvez, vous-même, faire une demande d'accès à l'UdM, vous n'avez pas besoin de ma permission!
M. Pratt, votre «Histoire» est un tissu de mensonges. Il est évident que vous avez caché de l'information à votre c.a. et à vos membres dans le cas du vol du PRDH tout comme vous l'avez fait dans le cas de la publication de la liste électorale volée.
Votre «Histoire» a bien mérité son titre de histoire officielle à la manière soviétique.
Votre refus obstiné d'admettre que le PRDH a été volé, et que vous le saviez est aussi ridicule que le propos de M Desjardins :
Seulement, M. Desjardins me l'a écrit ainsi, parce qu'il savait bien que je comprendrais ce que ça signifie. Je suis pas bête à ce point.
LE COMMENTAIRE NOUVEAU DE M. PRATT
Natalie Bédard
de la schnoutte : en québécois, de la merde.
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