«Une ville bâtie sous le niveau de la mer»
- le Cavalier de Bronze, un poème d'Alexandre Pouchkine
Le Code de Déontologie du Généalogiste Le Code de Déontologie à Responsabilité-Zéro est un "chef-d’œuvre" de cynisme dont les droits d'auteur reviennent à Serge Bouchard, avocat de Québec, Ce faux "Code" est tel que Michel Banville, l'ancien président de la Fédération, le décrit, une aberration:

La cupidité à l'Institut Drouin (Jean-Pierre Pépin, Sébastien Robert, Bertrand Desjardins) est le moyen de s'approprier tout ce qu'ils trouvent. Tout le développement est fondé sur le mensonge, le vol, les tricheries, les abus de confiance, les conflits d'intérêt, les dissimulations, le mépris de toute règle démocratique, l'absence chronique de transparence, la collusion, l'absence d'éthique et l'hypocrisie de cacher des actionnaires pendant des années! (le professeur-entrepreneur Bertrand Desjardins, Michel Pratt le président-fourbe), l'évasion fiscale, les parjures * (pour J.P. Pépin) etc... On croirait à une liste sans fin. Denis Racine, l'avocat de l'Institut Drouin et président de la Fédération a pataugé, plus que quiconque, dans le conflit d'intérêt et la duplicité. Il est de plus fort probable que, comme Bertrand Desjardins l'a fait, Michel Pratt cache être actionnaire de l'Institut Drouin, ment aux membres et préside la société du Marigot depuis des années en situation de conflit d'intérêt* avec ses co-actionnaires.
La manipulation est leur discours, leur Règle d'Or, sans foi ni loi. À l'Institut Drouin, on triche, on vole, on vous berne «par altruisme», pour votre bien ! ce lien.
L'Institut Drouin est bon voisin de «la famille Bougon», s'il y a une passe-passe croche, une magouille pour envoyer la facture à d'autres, en double ou même plus, refiler ses coûts à la collectivité : pourquoi hésiter? On s'approprie le travail de tous, on y aborde les droits des autres avec cynisme. La combine à tout coup... C'est aussi ça la généalogie !
* Conflits d'intérêt et Parjures suivre ce lien (à venir)

..LES PLUS IMPORTANTS PLAGIATS DE GÉNÉALOGIE

«francogène» plagiaire : Denis Beauregard; un plagiat GÉANT du Dictionnaire de René Jetté. Denis Beauregard a, en outre, plagié l’œuvre de R. Jetté de 1621 à 1825; c'est un vol représentant plus de 30 années de travail. Ce Plagiat découle (je cite) «d'une entente secrète»; Jean-Pierre Pépin, Bertrand Desjardins et la S.G.C.F. (Marcel Fournier) en ont une très grande responsabilité. Denis Beauregard était alors sur le c.a. de la S.G.C.F. et travaillait pour l'Institut Drouin. Voir tous les détails et la preuve de ce Méga-Plagiat à ce lien
Le «LaFrance». plagiaires : l'Institut Drouin (Jean Pierre Pépin, Sébastien Robert) / Bertrand Desjardins aidés par Michel Pratt (Société du Marigot).
Le «LaFrance» est une copie non autorisée par l'Éditeur Chenelière Éducation du PRDH (1621-1799) de l'Université de Montréal. Les plagiaires comptaient faire croire que les transcriptions 1621 à 1799 avaient été faites par l'Institut Drouin. Après avoir commercialisé illégalement le PRDH pendant 3 ans, l'Institut Drouin achète ce qu'il a volé et vendu (mai 2014). [VOIR encadré, ci-dessous.]
Il s'agit d'une combine frauduleuse impliquant Jean-Pierre Pépin, Sébastien Robert, Bertrand Desjardins (après avoir volé et remis les fichiers du PRDH à l'Institut Drouin , ce "professeur-entrepreneur" en devient actionnaire) et Michel Pratt qui a menti effrontément à son conseil d'administration et à son assemblée de membres et ce n'était pas la première fois. M. Desjardins cachait ses liens avec l'Institut Drouin, pour profiter d'une fausse indépendance universitaire; il a montré qu'il était "actionnaire" plus de 2 ans après sa retraite. Est-ce que M. Pratt va faire de même dans quelques mois, alors qu'il ne compte pas renouveler son mandat de président du Marigot? Michel Pratt, aurait-il été président en conflit d'intérêt pendant des années? ce lien
Le «BSQ 1926-1997». plagiaires : l'Institut Drouin (Jean Pierre Pépin, Sébastien Robert) / la Société de Généalogie de Québec (André G. Bélanger)/ La Société de Généalogie Canadienne Française (Gisèle Monarque). Le BSQ 1926-1997 a été obtenu de la plus hideuse façon, en méprisant une entente signée, de bonne foi, par Mme Mariette Parent (S.G.Q.) et le M.S.S.S.Q. en 2000. Les conditions étaient que les données de l'index, mises sur cdrom, étaient réservées à certaines sociétés de généalogie à but non lucratif, autorisées, l'utilisation en était restreinte à leurs locaux, une mention du M.S.S.SQ. était obligatoire. Le mépris du Droit au Respect de la Vie Privée est toujours vu comme un atout par cette Fédération, la duperie des moyens utilisés par les plagiaires sera dissimulée.
L'«Annuaire des Citoyens du Québec de 2003» (liste électorale volée). plagiaires : l'Institut Drouin la distribution a été faite à la Fédération même lors d'un «Conseil de la Fédération» présidé par Denis Racine (avocat de l'Institut Drouin, en conflit d'intérêt) en octobre 2005; Publication de la liste électorale volée de 2003. [interdite à l'été 2012, par la Cour Supérieure; l'institut Drouin en a appelé de la décision...]
La Cour d'Appel déboute Jean Pierre Pépin et son avocat-fumiste Denis Racine et fait une jambette aux «calvettes à entourloupettes» de M. Pépin qui en conserve une honorable mention à sa «turpitude» (décembre 2013).

Jean-Pierre Pépin étale sa mauvaise foi à la une du journal le Devoir (mai 2014). ce lien
* ces 4 plagiats ont pu bénéficier de la plus complète complaisance de la Société de Généalogie Canadienne Française (présidents : Marcel Fournier, Gisèle Monarque, Jean Pierre Pépin était sur le c.a. en 2000-2004)
** la Fédération des Sociétés de Généalogie a une grande responsabilité dans la diffusion de la liste électorale volée; le président en 2005-06, Denis Racine, était aussi l'avocat de l'Institut Drouin (Jean Pierre Pépin était sur le c.a. de la Fédération en 2005). Il est aussi hautement probable que cette liste électorale de tout le Québec (5,5 millions de personnes mentionnées) ait été obtenue illégalement par M. Denis Racine alors qu'il était organisateur électoral, en 2005, pour la défunte A.D.Q.
*** Denis Beauregard, Jean Pierre Pépin et Sébastien Robert ont été
administrateurs de Société et/ou de la Fédération.
**** La Société Historique du Marigot (et tout particulièrement Michel Pratt qui a menti à ses membres à maintes occasions) a grandement soutenu la distribution de la liste électorale volée et aidé à dissimuler l'utilisation non autorisée du PRDH pour le «LaFrance» de l'Institut Drouin.
Ça nous amène à vous inviter à notre «Bal Infernal et Démagogique» d'après une idée originale* de Jean Pierre Pépin avec l'inestimable contribution de Mikhaïl Boulgakov et de Nicolas Gogol. (Et, un Merci! particulier à ma bonne amie Fraülein Gretchen et à Herr Von Goethe - et une fois de plus on profite de n'importe quelle occasion qui se présente à nous pour envoyer nos meilleures salutations à certains de leurs compatriotes qui seraient - soupçonne-t-on, Aïe! aïe! aïe! - amis-lecteurs de ce blogue.)

LA JAVA DU DIABLE
Parce que le Diable s'aperçut
Qu'il n'touchait pas de droits d'auteur
Tout ça c'était d'l'argent d'foutu
Puisqu'il n'était même pas éditeur
- Charles Trenet
n


Великий бал у сатаны -
Сергей Алимов
Grand Bal chez Satan - Serge Alimov

NOTRE GRAND BAL INFERNAL EST CONSTITUÉ de 3 TABLEAUX :

- présentation du Bal - transport - orchestre.
- La suite de la série des
TRICHEURS sur expressément expressivement

J. P. Pépin.
- et la Lettre concernant MM. Racine et Bouchard.
le tout est à ce lien >> à venir


* «bal infernal et démagogiqu
propos de M. Pépin dans un courriel m'étant adressé ...
écrit avec toute son extrême mauvaise foi. Voir ce lien

mardi, juillet 02, 2013

Vox Populi, Vox Denis

alleluia !

Je suis découragée !
J'ai grandement changé le texte (la dernière partie).
--> aussi, je me suis rendue compte que M. Pépin avait été administrateur à la S.G.C.F. en 2004, et non en 2005.

Andreï Roublev, XVe siècle.
le plus célèbre peintre d'icône


demande complémentaire au M.S.S.S.Q.
c.c. :  I.S.Q., D.E.C., D.G.E.Q. C.A.I. et mon député



Bonjour M. Lamarre,


Merci beaucoup pour votre réponse.
Elle me déçoit un peu, mais je l'accepte. Seulement, je trouve assez restrictive la lecture que vous faites de l'art. 31., je puis comprendre qu'un ministère n'a pas à transmettre de critiques sur une loi ou l'opinion de ses juristes sur la constitutionnalité de ces dernières, mais qu'on étende ça à l'application qu'il a été fait de la loi me semble aller bien au-delà de l'article que vous citez. Qu'il ne me soit pas autorisé de voir la totalité du document, j'en conviendrais, mais pas une seule ligne - pas même l'article de loi discuté- me laisse perplexe. Mais ce n'est pas l'objet de ma demande.

J'aimerais, s'il vous plaît que vous clarifiez certains de vos propos, pour m'assurer de ne pas vous interpréter erronément.
Je mets, ici, votre lettre que vous n'avez probablement pas sous la main. (page 1 page 2).

«Nous regrettons de vous informer que nos recherches n'ont permis de repérer aucun document susceptible de répondre à la première partie de votre demande »

- Ce que je comprends est que le M.S.S.S.Q. n'a pas d'écrits provenant de la Société de Généalogie de Québec sur les négociations qui ont dû avoir lieu vers décembre 1997 concernant la publication de millions de données nominatives. (est-ce possible ?)

- Mme Marie-Josée Péan de l'Institut de la Statistique du Québec m'a bien spécifié que l'I.S.Q. avait envoyé seulement les index (on a eu un échange de quelques courriels à ce propos parce qu'elle s'était contredite, et m'a écrit une «rectification»). Ce serait donc le M.S.S.S.Q. qui aurait fourni les images microfilmées à la Société de Généalogie de QUébec . (Le M.S.S.S.Q était propriétaire et responsable tant des index que des images.)

- Est-ce que le M.S.S.S.Q. est d'accord là-dessus? Si non, quel rôle a joué le M.S.S.S.Q. dans la transmission des données, microfilms et index ? Le M.S.S.S.Q. avait la responsabilité de protéger ces données nominatives, s'il a failli à ses obligations en ne donnant pas des directives claires ou en tenant des propos sujets à interprétation (lettre du 17 décembre 1993) il est injuste qu'il cherche maintenant davantage à se dissimuler qu'à corriger les ratés dues à ses manquements ou à ceux de ses mandataires. Ces images sont maintenant commercialisées et des généalogistes se croient en droit de les reproduire, comme bon leur semble, sur internet!

«le document du 17 décembre 1993 disant que le MSSSQ confirmait à l'institut de la Statistique [...] qu'il était en mesure de poursuivre la transmission des données issues des «déclaration de mariages » (sic) »


C'est le "sic" qui me fait problème. Il y a beaucoup de guillemets dans cette phrase.

- Est-ce toute l'affirmation qui est contestée par ce «sic» ? Seulement, je n'ai rien interprété , ce propos vient, presque mot pour mot, de ce que m'a écrit l'Institut de la Statistique (Mme M.J. Péan).


- ou est-ce  le fait que j'ai fait des fautes en orthographiant «déclaration» sans pluriel et «mariages» au pluriel ?

(vous trouverez, en entier, le tableau chronologique qui m'a été envoyé par Mme M.J. Péan de l'I.S.Q., en pièce jointe ainsi que sa «rectification» concernant le fait que ce serait, selon l'I.S.Q., M.S.S.S.Q. qui aurait transmis les images ).
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si je puis, je voudrais ajouter ces commentaires : 

Le fait que l'I.S.Q. utilise dans son tableau le terme, manifestement erroné de «certificat» pour qualifier les «déclarations de mariage» qui sont depuis 1994, les documents que produisent le Directeur de l'État civil lorsqu'il lui est demandé un «acte». À la lecture de l'article 148, tel qu'il était avant l'ajout de 2001, on comprend assez bien l'astuce derrière le choix de ce terme.

Le Directeur de l'État Civil m'a confirmé ce que j'avais compris du propos de L'I.S.Q., à savoir qu'il n'avait pas été consulté par le M.S.S.S.Q. Pourtant l'article 103 C.c.Q., semble bien dire que le directeur de l'état civil est seul, autorisé, à pouvoir faire la publicité du registre. Le tableau chronologique de l'I.S.Q. n'explique en rien comment le Directeur de l'État civil avait pu être écarté des négociations.

Je demeure donc convaincue qu'une erreur administrative sévère a été faite en décembre 1997; et le fait que le ni le MSSSQ ni l'ISQ ne veulent l'admettre (juste un petit peu) empêche d'apporter tout correctif et ce, au mépris du droit au respect de la vie privée de millions de personnes.

Les Archives Nationales m'ont écrit, à ma demande, que les versements de données pour constituer le fichier des mariages et de décès de 1926-1996, se faisaient au 2-3 ans. Ainsi il est assez improbable  que la cessation des versements en  1997 soit attribuable à un ajout à la loi en 2001...

l'I.S.Q. triche les règles, donne une argumentation toute fabriquée et à peine cohérente, ne tient pas parole. (j'avais refusé d'avoir une réponse par téléphone, si on ne me donnait pas un compte rendu écrit de la discussion. L'I.S.Q. n'a que répété, par écrit, son propre propos, même les arguments de leur avocate, Me Denise Bisson, tel que «en 1997 la confidentialité n'était pas une grande préoccupation...», n'ont pas été mis par écrit.)

J'avais fait une demande d'accès à l'I.S.Q. le 31 août 2011. J'ai reçu une réponse le 15 décembre, après maints rappels. (106 jours pour répondre, la loi en accorde 20 ! ). Ça ne donne pas confiance du tout en cet organisme.

Il n'est pas très agréable non plus de bondir d'un ministère à l'autre pour pouvoir avoir une explication concernant une décision aussi peu banale.
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la raison de cette demande :

le Code de Déontologie du Généalogie n'a jamais existé réellement, c'est un leurre inventé pour tromper les organismes publics afin d'obtenir plus de latitude concernant l'utilisation de données personnelles. (Le faux-Code de Déontologie a été adopté après l'entrée en vigueur du C.c.Q., en 1994. Il n'a jamais été appliqué en 18 ans)

        par exemple :
  • «Je tiens à vous préciser que la fédération propose un Code de Déontologie à ses membres, mais ne peut  l'imposer. » - Michel Banville, actuel président de la F.Q.S.G.
  •     «C'est moi qui leur ai dit de ne pas répondre...» (à une demande en déontologie pour un vol de propriété intellectuelle géant commis par un administrateur, M. Denis Beauregard) - Albert Cyr, ancien président de la F.Q.S.G.

Ce que la Société de Généalogie de Québec a fait à l'Institut des Statistique du Québec, ça l'a été refait au Directeur des Élections du Québec en 2005. Une façon d'agir en hypocrite avec un Code de Déontologie - qui est une fourberie -comme passe-partout. De la fausse représentation.

Me Denis Racine, défenseur et utilisateur de ce Code de Déontologie non éthique; qui par opportunisme et arrivisme, trompe les organismes publics sur la valeur de ce Code au nom de milliers de personnes.

 Il est aussi hautement probable qu'il soit l'auteur du vol de la liste électorale, étant lui-même, simultanément, organisateur électoral pour l'A.D.Q. en 2005, président de la Fédération Québécoise des Sociétés de Généalogie, et avocat du diffuseur de cette liste volée (5,5, millions de données nominatives mises en ligne par son client l'institut Drouin qui est aussi le diffuseur des images et des Index du M.S.S.S.Q. / I.S.Q....).

Le président de l'Institut Drouin, M. Jean-Pierre Pépin, était quant à lui assis, en 2006, au comité exécutif de la Fédération (accompagné de son propre avocat !...) . La liste électorale volée a été distribuée et l'«anticonstitutionnalité» de la loi électorale "expliquée" à partir de la Fédération par ces gens... Triplementent antidémocratique, les Sociétés ont encouragé l'utilisation par leurs membres de la liste électorale volée, sans même les aviser que c'était un geste illégal et sans, bien sûr, demander un appui de leurs assemblées, qui ne sont pas non plus informées du fait que leur Code de Déontologie a été prévu pour ne pas être appliqué. De façon similaire, le processus démocratique a été escamoté dans nombre de sociétés dont celle de Montréal, la S.G.C.F. (M. Marcel Pépin), dont M. Pépin avait été en 2004, administrateur et celle de  Québec (Mariette Parent, Michel Banville).

J'ai fait une demande d'enquête en déontologie concernant l'utilisation de cette liste électorale par les généalogistes auprès de la fédération en 2010 (MM. Albert Cyr, Francois Falardeau, Mme Sylvie Adam) ainsi qu'auprès de la Société de Généalogie Canadienne Française (Mme Gisèle Monarque, Micheline Perreault), fidèles à leur pratique, ces 2 organisme ne m'ont jamais répondu.

Ce type de pratique non-déontologique a aussi été utilisé pour publier et commercialiser des copies de registres religieux  sans autorisation des chancellerie des diocèses et malgré un décret des évêques interdisant cette pratique (ça s'est fait de façon compulsive à la Société des Cantons-de-l'Est, MM. Pierre Connolly, Guy Létourneau).

Sans l'erreur du I.S.Q. /M.S.S.S.Q. il n'y aurait jamais eu de liste électorale volée, publiée et utilisée illégalement : les généalogistes n'y auraient jamais cru. Seulement, avec les millions de dates de naissance provenant des index de mariages et de décès, c'était un peu plus crédible. La Fédération utilisait d'ailleurs cette argument dans une consultation publique tenu par la Commission d'accès à l'Information en 2002.

Tout de même, contrairement au M.S.S.S.Q., à l'I.S.Q. et à la D.E.C., le D.G.E.Q. a eu le courage de faire enquête et d'y mettre un frein : décision de la Cour Supérieure (décision juin 2012).

Il ne serait pas du tout difficile, que Archives Nationales, en premier lieu, demandent que les généalogistes respectent la confidentialitéde ces données et d'exiger à ce que la fédération et les société respectent les engagements découlant de leur "code", et fassent en sorte que les diffuseurs des fichiers de mariage et de décès demandent à leurs abonnés d'en user avec beaucoup de circonspections pour une utilisation plus équitable.

l'utilisation que je ferai de la réponse
:
elle sera  en ligne sur mon blogue: http://genealogie-fumisterie.blogspot.com

cette lettre est sur mon blogue, à ce lien : Vox populi, Vox Denis

-------------

votre moujik

N


* Correction : contrairement à ce que j'avais écrit, M. Racine n'est pas l'auteur du Code de Déontologie (qui serait Me Serge Bouchard)... seulement un fervent utilisateur .

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